École nationale des sous-officiers d’active à Saint-Maixent (Deux Sèvres).

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L’École nationale des sous-officiers d’active (ENSOA), appelée communément Saint-Maixent, est l’école de formation initiale des sous-officiers de l’armée de terre française (hors Légion étrangère). .

Située à Saint-Maixent-l’École, elle dépend du commandement de la Sous-direction formation de la direction des ressources humaines de l’armée de terre (DRHAT/SDF).

En s’implantant au cœur de la cité de Saint-Maixent, l’École Nationale des Sous-Officiers d’Active perpétue une longue tradition qui lie la ville à l’armée depuis le Moyen Âge. De la garnison du château médiéval (1224) jusqu’à nos jours, celle-ci a en effet accueilli en son sein de nombreuses écoles, ainsi que le régiment des Deux-Sèvres : le 114e régiment d’infanterie.

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Les danses traditionnelles.

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La danse traditionnelle se réfère au répertoire chorégraphique essentiellement rural, par opposition au répertoire citadin, comme la danse de théâtre ou la danse de société. Le terme de « danse traditionnelle » tente de réconcilier des concepts très divers, apparus au fil du temps, comme danse nationale (principalement au XIXe siècle), danse folklorique (le synonyme le plus fréquent après la Seconde Guerre mondiale), danse ethnique (davantage préoccupée des danses extra-européennes) ou danse populaire (mêlant danse de ville et de campagnes).

Apparu dans le sillage des années folk, le terme désigne les danses propres à une région, à un village, voire à une communauté, transmises (latin tradere) par voie orale ou d’imitation, autant que les danses « remises » en scène par les « groupes folkloriques » d’aujourd’hui. Cette ambiguïté est double :

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Albert Gleizes, peintre, dessinateur, graveur et philosophe.

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Albert Gleizes, né le 8 décembre 1881 à Paris, et mort le 23 juin 1953 à Avignon (Vaucluse), est un peintre, dessinateur, graveur, philosophe et théoricien français, qui fut l’un des fondateurs du cubisme et une influence sur l’École de Paris.

Albert Gleizes et Jean Metzinger ont écrit le premier traité majeur sur le cubisme, Du “Cubisme” (en), en 1912. Gleizes était un membre fondateur de la Section d’Or. Il a également été membre de Der Sturm, et ses nombreux écrits théoriques ont été à l’origine le plus apprécié en Allemagne, où en particulier au Bauhaus ses idées ont été pris en considération réfléchie. Gleizes a passé quatre années cruciales à New York, et a joué un rôle important dans l’évolution de l’art moderne en Amérique. Il a été membre de la Société des artistes indépendants, fondateur de l’Association Ernest Renan, l’un des fondateurs et participant à l’Abbaye de Créteil1. Gleizes a exposé régulièrement chez Léonce Rosenberg à la Galerie de L’Effort moderne (Paris). Il était également le fondateur, organisateur et directeur de Abstraction-Création. Des années 1920 aux années 1930 une grande partie de son énergie passe dans l’écriture (par exemple, La Peinture et ses lois (Paris, 1923), Vers une conscience plastique: La Forme et l’histoire (Paris, 1932) et Homocentrisme (Sablons , 1937). Étant l’un des principaux représentant du cubisme des Salons (1911-1914), Gleizes considère toute son œuvre ultérieure comme un développement logique de l’esthétique cubiste.

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