La caille.

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Les cailles sont de petits oiseaux migrateurs (15 cm de longueur environ) de la sous-famille des Perdicinae. Elles ressemblent beaucoup aux perdrix, bien que plus petites. Ce terme serait d’origine germanique. Ces oiseaux sont un gibier recherché.

Elles se nourrissent de graines au sol, d’insectes et parfois de petites proies.

Le Roi caille est un synonyme populaire du râle des genêts. Il existe également de nombreuses espèces du genre Ortygospiza.

L’élevage des cailles s’appelle la coturniculture, terme dérivé du nom de l’un des genres Coturnix.

La caille margote (ou carcaille/courcaille) en accompagnant chacune de ses émissions sonores d’un hochement de tête.

En France, la caille n’est pas une espèce menacée, sa survie étant  directement liée aux dates d’ouverture de la chasse, en général postérieures au début de sa migration.

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Celâl Bayar, homme d’état.

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Celâl Bayar, né le 15 mai 1883 à Umurbey dans le district de Gemlik et mort le 22 août 1986 (à 103 ans) à Istanbul, est un homme d’État turc, troisième président de la Turquie et chef du Parti démocrate (Demokrat Parti) ou DP.

Il a joué un rôle important pour la politique de son pays à 3 reprises : entre 1902 et 1922, dans les organismes du Comité Union et Progrès et dans la résistance à l’occupation grecque ; entre 1924 et 1938, dans les milieux dirigeants de la Turquie ; et entre 1946 et 1960 comme fondateur du Parti démocrate, et comme président.


Né à Umurbey, près de Bursa, dans une famille originaire de Bulgarie  émigrée en 1877, Celâl Bayar entre à la Banque Agricole de Bursa, puis à la Deutsche Bank.

En 1908, Bayar commence sa vie politique en devenant membre du Comité Union et Progrès, et deviendra le secrétaire général, avant d’être muté à Izmir (Smyrne), pour y occuper le même poste de responsabilité avant la dissolution du Comité fin 1918.

Pendant cette décénnie, il sera membre de son organisation secrète, la Teskilat-i Mahsusa. Il fut particulièrement impliqué dans le processus de création d’une bourgeoisie turque musulmane destinée à remplacer celle existante et cosmopolite des Chrétiens ottomans et ceci l’amena à prendre des positions hostiles aux minorités chrétiennes de l’Empire. En 1911, la première action clandestine significative de Bayar fut de menacer et de propager l’effroi parmi les Grecs ottomans vivant en Anatolie occidentale, en employant des forces informelles qui les incitèrent à émigrer pour la Crète ou pour d’autres régions de Grèce, c’est-à-dire loin de l’Asie mineure que les dirigeants de Comité Union et Progrès commençaient à considérer, après les guerres balkaniques, comme « le foyer national turc »[réf. nécessaire]. Le succès qu’il rencontra dans cette entreprise lui permit de gravir rapidement les rangs du parti mais provoqua également son emprisonnement par les Britanniques après la Première Guerre mondiale.

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Ville de Kaboul (Afghanistan).

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Kaboul est la capitale et la plus grande ville d’Afghanistan. Elle est aussi la capitale de la province du même nom, située dans l’Est du pays. Selon les estimations officielles de 2014, la population de la ville serait de 3 543 700 habitants.


On connaît au moins trois récits légendaires se rapportant à la fondation de Kaboul. Le premier se rapporte à deux tribus vivant dans des zones marécageuses qui construisirent un pont (« poul ») sur des pierres jetées dans les marais et recouvertes de paille (« kâh ») pour ne pas blesser les sabots des chevaux, d’où kâh-poul, dont dériverait Kaboul. Le second se réfère à une fantaisie calligraphique persane sur les mots goul (« fleur ») et âb (« eau »), d’où g[âb]-oul d’où viendrait Kaboul. Le troisième récit fait toujours référence à un marais où l’eau s’accumulait. Un légendaire personnage du nom de Farhâd aurait ouvert à coups de hache un passage dans les montagnes en direction de l’Est, formant ainsi les gorges du Tang-e Ghâro (en) vers lesquelles les eaux se seraient écoulées, asséchant ainsi la plaine de Kaboul.

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