Jacqueline Auriol, aviatrice.

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Jacqueline Auriol, née Jacqueline Douet le 5 novembre 1917 à Challans (Vendée) et morte le 11 février 2000 à Paris, est une aviatrice française. Elle est la première femme pilote d’essai en France.


Après des études secondaires au lycée Blanche-de-Castille de Nantes, elle se sent attirée vers l’art et histoire de l’art et s’inscrit à l’École du Louvre. Elle prend son baptême de l’air à Grenoble à seize ans, sans conviction.

En février 1938, elle épouse Paul Auriol (1918-1992), fils de Vincent Auriol (futur président de la IVe République). En 1947, elle s’occupe de la décoration de certaines pièces du palais de l’Élysée après l’élection de son beau-père. Ancien diplômé de l’École libre des sciences politiques, cadre dans l’électricité, Paul Auriol travaille auprès de son père pendant son mandat présidentiel comme secrétaire général adjoint de la présidence de la République (1947-1954). Il continue sa carrière comme contrôleur général à EDF et à partir de 1962 secrétaire général du comité national français de la Conférence mondiale de l’énergie.

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Le Potez 25.

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Le Potez 25 est un sesquiplan monomoteur d’observation et de bombardement français conçu en 1924 par la société des Aéroplanes Henry Potez. Le prototype est assemblé en 1924 et présenté à la 9e Exposition internationale de l’aéronautique, au Grand Palais de Paris, du 5 au 21 décembre 1924.


La structure du Potez 25 reprend les principes appliqués au Potez 24 A2, en y apportant des modifications. La voilure agrandie comprend des longerons en spruce et contreplaqué, des nervures en contreplaqué ajouré et des haubans en duralumin. Le fuselage, de construction mixte bois et métal, est constitué de deux ensembles, le bâti-moteur et le fuselage. À l’avant, un capotage en aluminium favorise l’accès rapide au moteur par des trappes. Le bâti-moteur en duralumin permet l’installation de tout type de moteur et un démontage aisé. Le bâti est fixé par quatre boulons sur le premier cadre en métal du fuselage, doté d’une cloison pare-feu. Le réservoir est protégé. Le fuselage est formé d’une ossature en spruce, couverte de contreplaqué pour l’habitacle et à l’arrière, entoilée et renforcée par des croisillons de cordes à piano, à l’exception de la partie supérieure en contreplaqué. Les empennages sont en bois et entoilés. La position de l’empennage horizontal peut varier en vol, pour équilibrer l’avion selon les variations de charge et d’altitude. Le train d’atterrissage à roues indépendantes est en duralumin et d’entretien simplifié. La béquille arrière est orientable.

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Le Bréguet 14.

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Le Breguet 14 (ou Breguet XIV) est un biplan conçu en France et utilisé pendant la Première Guerre mondiale. Il servait comme avion de reconnaissance ou bombardier. Il a été fabriqué en un grand nombre d’exemplaires durant la guerre (plus de 8 000 exemplaires) et la production a été poursuivie bien au-delà de 1918.

Il s’agit du premier avion produit en masse qui utilisait une structure métallique et non en bois. À résistance égale, cette structure était plus légère, rendant l’avion plus rapide et agile vu sa taille. Il est pour cette raison considéré comme le meilleur bombardier moyen du conflit, tout en étant l’appareil biplace le plus rapide.

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