Niketë Dardani, compositeur.
Nikete Dardani a été parmi les premiers compositeurs à écrire de nombreuses œuvres différentes, à la fois profanes et religieuses. Nikete Dardani (340 – 414), est connu comme l’auteur du “Te Deum”, hymne fondamental et symbole du christianisme, cet artiste de Dardania est l’un des premiers noms de l’histoire culturelle du christianisme et l’un des fondateurs de ce Culture. L’ethnomusicologue Ramadan Sokoli , dans son livre, fait valoir la contribution de cette figure éminente albanaise de l’art religieux médiéval. Nikete Dardani, autrement connu sous le nom de Nikete de Ramesiana, né vers 340 à Ramesiana de Dardania.
Personnalité polyédrique, théologien, poète, musicien, ami proche d’Aurel Ambrozin, N. Dardani est nommé évêque de Ramesiana (Bela Palanka dans l’actuelle Serbie) à l’âge de 26 ans. Selon Ilir Sec, son œuvre la plus célèbre est l’hymne “Te Deum Laudamus”, diffusé en Europe en 525 , et sur lequel des compositeurs tels que Lulu, Haendel, JS Bach, Mozart, F.Schubert, G Verdi G. Mahler , etc. Le temps qui sépare cet artiste de ses disciples est un écart séculaire qui s’approfondit dans “l’âge sombre”, où de nombreuses valeurs construites au fil des millénaires ont été perdues de notre patrimoine.
Il naquit à Tepelena, petite ville du Sud de l’Albanie, dans une famille de potentats locaux. Son grand-père Moktar serait mort, les armes à la main, lors de l’expédition des Ottomans contre Corfou en 1716. Son père Véli fut brièvement gouverneur de Delvinë mais mourut vers 1762. Sa mort ruina en grande partie la famille, dont sa mère Hamko prit la tête. Ils réussirent à prendre le contrôle de leur clan en éliminant d’autres membres de la famille, dont des cousins d’Ali. Ils furent cependant chassés de leur possessions de Tepelena par des ennemis du voisinage, Hamko étant même capturée et violée par certains d’entre eux, les habitants de Khormovo et de Gardiki.
Lef Nosi est né le 9 avril 1877 dans une famille aisée d’Elbasan. Il a soutenu le congrès d’Elbasan en août 1909 et a été directeur de la respectée école normale (Shkolla Normale) de sa ville natale. Le 25 mars 1910, il commence à éditer l’hebdomadaire Tomorri ( Tomorr ). Nosi était également membre du comité du club albanais d’Elbasan. Pendant la révolte albanaise de 1912, Nosi était l’un des deux délégués représentant Elbasan envoyés au Kosovo qui ont participé aux négociations entre les rebelles albanais et l’État ottoman concernant les intérêts sociopolitiques et culturels albanais.