Christian Peter Wilhelm Friedrich Beuth (28 décembre 1781 – 27 septembre 1853) était un homme d’État prussien, impliqué dans les réformes prussiennes et le principal moteur du renouveau industriel de la Prusse.
Beuth est né à Clèves ; son père était un artiste. Il entre à l’ université de Halle en 1798 pour étudier le droit et le caméralisme. En 1799, il devient membre du Corps Guestphalia Halle.
Il entre dans la fonction publique prussienne en 1801, devient assesseur à Bayreuth en 1806, suivi en 1809 d’un poste à Potsdam et en 1810 à la tête de la section des impôts du ministère des Finances à Berlin. En 1813/14, il était membre du Corps libre de Lützow et a combattu dans la campagne de libération contre Napoléon ; il a reçu la Croix de fer 2e classe.
Beuth était membre de la Deutsche Tischgesellschaft, fondée à Berlin en 1811 par Achim von Arnim et Adam Heinrich Müller . Il s’agissait d’une organisation antisémite et il a exprimé sa désapprobation de l’égalité devant la loi pour les Juifs.
Achim von Arnim, né Ludwig Joachim von Arnim le 26 janvier 1781 à Berlin et mort le 21 janvier 1831 à Wiepersdorf près de Jüterbog, est un romancier, chroniqueur, dramaturge et poète romantique prussien qui fit partie du Cénacle romantique de Heidelberg avec Görres, Creuzer et Clemens Brentano.
Achim von Arnim est issu d’une famille ancienne de la noblesse prussienne, les Arnim. Il passe son enfance et son adolescence à Berlin et à Zernikow. Il étudie le droit et les sciences naturelles à Halle et Göttingen de 1798 à 1801. Il commence à écrire dans des journaux de sciences naturelles, puis entreprend un voyage d’études à travers l’Europe, jusqu’en 1804.
Avec Clemens Brentano, dont il devient l’ami et le beau-frère par son mariage avec Bettina Brentanonote 1 il publie Des Knaben Wunderhorn (« Le Cor merveilleux de l’enfant »), un recueil de chants populaires (Volkslieder) en trois tomes entre 1806 et 1808. Cette même année, il fonde le journal romantique Zeitung für Einsiedler (« Journal des ermites ») à Heidelberg.
À l’origine, le gaz d’éclairage désigne le gaz de houille, nommé ainsi par son inventeur William Murdoch parce que destiné à l’éclairage (gas light). L’idée de s’éclairer au moyen d’un gaz est traditionnellement attribuée à Philippe Lebon en France, et à Jan Pieter Minckelers en Hollande. Par extension le terme gaz d’éclairage renvoie à la technique permettant d’éclairer à partir d’un gaz tel que le gaz de houille, le gaz naturel, le dihydrogène, le méthane, le propane, le butane et l’acétylène.
Les Chinois ont commencé à utiliser du gaz naturel comme combustible et source d’éclairage au IVe siècle av. J.-C.. En Occident, le gaz d’éclairage succède à l’huile, aux alentours de 1800 et sera progressivement remplacé par l’électricité à partir de 1880.
En 2011, bien que la majeure partie de l’éclairage tant public que privé soit assuré par l’électricité, il existe toujours des applications d’éclairage public à partir de gaz naturel, notamment en Allemagne. Le gaz est aussi utilisé comme moyen d’éclairage dans des applications de camping, ainsi que dans certains endroits trop éloignés pour être approvisionnés en électricité.
Les Chinois ont commencé à utiliser du gaz naturel comme combustible et source d’éclairage au IVe siècle av. J.-C.. Le forage systématique de puits pour l’extraction de la saumure au Ier siècle av. J.-C. (Dynastie Han) mena à la découverte de beaucoup de « puits à feu » au Sichuan qui produisaient du gaz naturel. Ainsi qu’il est rapporté, cela entraîna dès le IIe siècle av. J.-C., une recherche systématique de gaz naturel. La saumure et le gaz naturel étaient conduits ensemble par des tubes de bambous. Depuis les petits puits, le gaz pouvait être acheminé directement aux brûleurs où la saumure était versée dans des cuves d’évaporation en fonte pour bouillir et produire du sel. Mais le gaz dense et âcre puisé à des profondeurs d’environ 2 000 pieds devait tout d’abord être mélangé à l’air de crainte qu’une explosion se produise. Pour remédier à cela, les Chinois conduisaient d’abord le gaz dans un grand réservoir en bois de forme conique, placé 3 m sous le niveau du sol, où un autre conduit amenait l’air. Ce qui transformait le réservoir en grand carburateur. Pour éviter les incendies à cause d’un soudain surplus de gaz, un « Tuyau repoussant le ciel » supplémentaire était utilisé comme système d’échappement.
Désolé, mais la copie des textes et des images n'est pas autorisée.
Acceptation des cookies
Nous avons recours aux cookies et à d'autres technologies similaires pour vous fournir la meilleure expérience de navigation possible sur notre site internet. Nous pensons que vous êtes d'accord avec cela mais vous devez les accepter.
Cookies fonctionnels
Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Cookies statistiques
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Cookies marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.