Francesco Baracca, pilote de chasse.

  • Auteur/autrice de la publication :
  • Post category:Nos personnages célèbres
  • Commentaires de la publication :0 commentaire
  • Dernière modification de la publication :22 mai 2023
  • Temps de lecture :6 min de lecture

Francesco Baracca, né le 9 mai 1888 à Lugo (Ravenne), et mort au combat le 19 juin 1918 à Nervesa della Battaglia (Trévise), était le meilleur pilote de chasse italien de la Première Guerre mondiale. L’emblème du cheval cabré noir sur ses deux pieds arrière qu’il affichait sur son avion a inspiré celui de Ferrari. C’est la mère de Francesco Barraca qui aurait donné l’emblème à Enzo Ferrari.


Francesco Barracca est né le 9 mai 1888 à Lugo près de Ravenne. Il était le fils unique d’Enrico Baracca, un grand propriétaire terrien, et de la comtesse Paolina Biancoli. Il passa son enfance à s’adonner à la musique, à l’équitation et à la moto.

Baracca fut attiré par la carrière des armes et entra en 1907 à l’école  militaire de Modène, où il choisit la cavalerie contre l’avis de ses parents qui l’appelaient cecchino (tireur d’élite). Il fit preuve d’une grande qualité pour l’équitation mais aussi d’un désintérêt pour l’enseignement théorique et pour la discipline. En 1912, intéressé par l’aviation naissante et avec l’accord de son état-major il se rendit en France, à l’école de pilotage de Bétheny, où les futurs pilotes italiens pouvaient suivre un stage d’entraînement. Il y  effectua son premier vol le 4 mai 1912 et reçut son brevet de pilote d’aéroplane no 1037 deux mois plus tard. Il regagna ensuite l’Italie pour poursuivre des vols et obtenir son brevet de pilote militaire à Turin.

(suite…)

Continuer la lectureFrancesco Baracca, pilote de chasse.

La Bataille de Bezzecca (1866).

  • Auteur/autrice de la publication :
  • Post category:Histoire
  • Commentaires de la publication :0 commentaire
  • Dernière modification de la publication :22 mai 2023
  • Temps de lecture :1 min de lecture

La bataille de Bezzecca est une bataille livrée le 21 juillet 1866 à Bezzecca, dans l'actuelle région du Trentin-Haut-Adige, pendant la troisième guerre d'Indépendance italienne. Les troupes italiennes commandées par Giuseppe Garibaldi tentent de  reprendre la ville de Bezzecca dont se sont emparées les Autrichiens commandés par le général Franz Kuhn von Kuhnenfeld. Après plusieurs attaques sanglantes, mal coordonnées et infructueuses, les Italiens remportent la victoire lorsque leur artillerie parvient à s'installer sur des emplacements dominant les positions adverses, rendant celles-ci  intenables. Source : Wikipédia.

Continuer la lectureLa Bataille de Bezzecca (1866).

Alessandro Tassoni, poète.

  • Auteur/autrice de la publication :
  • Post category:Nos personnages célèbres
  • Commentaires de la publication :0 commentaire
  • Dernière modification de la publication :22 mai 2023
  • Temps de lecture :4 min de lecture

Alessandro Tassoni, né le 28 septembre 1565 à Modène et mort dans la même ville le 25 avril 1635, est un poète italien porté à la satire.


Né à Modène le 28 septembre 1565, d’une famille noble et ancienne, il eut à lutter dès le berceau contre l’adversité. Resté orphelin dans sa première  enfance, affligé d’infirmités, engagé dans des procès ruineux, il vainquit tous ces obstacles, fit des études solides, d’abord dans sa patrie, puis dans les universités de Ferrare et de Bologne, où il eut pour maître le célèbre Aldrovandi, et partit pour Rome, en 1597, dans l’espoir de s’y procurer plus d’aisance. Doué d’un caractère enjoué et d’un esprit aimable, il ne tarda pas à s’y faire connaître.

En 1599, le cardinal Ascanio Colonna le fit son premier secrétaire et  l’emmena avec lui en Espagne. Le cardinal ayant été nommé vice-roi d’Aragon, ne voulut point occuper cette place sans l’agrément du Pape et lui envoya Tassoni pour l’obtenir. Clément VIII, dans sa réponse au cardinal, fit l’éloge du secrétaire, ajoutant qu’il l’avait vu avec beaucoup de plaisir. Ce fut à cette occasion que le jeune négociateur prit la tonsure cléricale, ne doutant point, dit Muratori, que la rosée ecclésiastique ne tombât sur sa tête en abondance ; mais il n’obtint rien.

Après son retour en Espagne, le cardinal le renvoya à Rome avec six cents écus d’or de pension et lui confia l’administration de ses biens. On ne sait pas si Tassoni prit ou reçut son congé. En 1618, le duc de Savoie Charles-Emmanuel, après plusieurs marques d’estime, le déclara son secrétaire d’ambassade à Rome, gentilhomme ordinaire du prince son fils et lui assigna une pension d’environ deux mille écus, qui ne fut jamais payée.

(suite…)

Continuer la lectureAlessandro Tassoni, poète.