Július Bencúr, peintre.

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Július Bencúr de Jeszenova (allemand : Gyula Benczúr ; * 28 janvier 1844, Nyíregyháza - † 16 juillet 1920, Doľany ) était un peintre et professeur hongrois, dont la famille venait de Jasenov . Son père était Viliam Bencúr de Jeszenova (1811-1873), sa mère Paulína Laszgallnerová (1815-1885). À l'âge de deux ans, il déménage avec ses parents à Košice , où il apprend également les bases de la peinture à l'école de dessin des frères František et Vojtech Klimkovičov. À partir de 1861, il étudie à l'Académie de Munich auprès d'Anschütz et de Johann Georg Hiltensperger. De 1865 à 1869, il étudie avec Carl Theodor von Piloty, qu'il aide également pour les fresques de Maximiliane et de l'hôtel de ville de Munich . Il a également illustré les livres de l'écrivain allemand Friedrich Schiller . Le roi de Bavière Louis II. il l'a choisi pour peindre des motifs rococo. Plus tard, on lui propose de nombreux postes d'enseignant internationaux, notamment à Prague et à Weimar, mais il accepte un poste à son alma mater à Munich, où il travaille de 1876 à 1883. L'un de ses élèves les plus importants fut le peintre américain Adolfo Müller-Ury. En 1883, il devient directeur de la nouvelle école d'art de Budapest.…

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Maître de Třeboň, peintre.

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Le Maître du retable de Třeboň ou Maître de Třeboň ou Maître de Wittingau est un peintre du gothique international de la seconde moitié du XIVe siècle, représentant majeur de l'École de Bohême. Il est célèbre pour être l'auteur de panneaux pour le retable de l'église abbatiale Saint-Éloi de Wittingau (aujourd'hui Třeboň), appartenant alors aux augustins. Ces tableaux représentent des épisodes de la Passion du Christ et se trouvent aujourd'hui à la filiale de la galerie nationale de Prague, au couvent Sainte-Agnès. Il en subsiste trois : Le Christ au Mont des Oliviers, La Mise au tombeau du Christ et La Résurrection du Christ. L'artiste s'est formé en s'inspirant des peintures du château de Karlstein de Maître Théodéric, de celles de la cathédrale de Prague et du couvent d'Emmaüs. Il connaissait certainement des œuvres de la peinture française et de la peinture lombarde, mais surtout celles alors en vogue à la Cour de Bourgogne. Il peint en 1380 une Vierge des Douleurs et une Vierge à l'Enfant, dite de Raudnitz, conservée aujourd'hui à Prague. Le Maître de Wittingau, à la poésie empreinte d'un mysticisme né de la réalité, est le fondateur du « style fleuri », ou « beau style »,…

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La Bataille du Col de Dukla (1944).

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Alors que l’Allemagne nazie approchait de l’agonie, les forces soviétiques envahissaient à la fin de l’année 1944 les territoires des alliés d’Hitler et obtenaient leur reddition les uns après les autres. Dans la foulée du rouleau compresseur de l’Armée rouge, la Finlande devait capituler et signer une paix séparée le 19 septembre 1944. La Roumanie envahit n’avait pas tardé non plus à capituler dès la fin du mois d’août 1944, suivie de la Bulgarie le 5 septembre, de la Hongrie le 17 octobre. Dans une opération militaire, l’Armée rouge tenta de donner la main à un soulèvement national slovaque, ce pays ayant été un autre allié d’Hitler mais divisé à l’approche de la catastrophe finale. C’est dans ces conditions qu’une offensive fut préparée et planifiée par le maréchal Koniev avec le 1er Front ukrainien. Pour réussir, les forces soviétiques devaient s’emparer du col de Dukla dans les Basses-Carpates. Les Allemands avaient toutefois fortifié la région (Karpatnfestung, la Forteresse des Carpates) et opposèrent une sérieuse résistance qui transforma ce combat en une hécatombe pour les assaillants. Débutée le 8 septembre 1944, les Soviétiques s’emparèrent en trois jours de Krosno mais butèrent sur la colline 534 non loin de la ville de…

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