Jean-Frédéric Schnyder, peintre, graphiste et photographe.

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Jean-Frédéric Schnyder (né le 16 mai 1945 à Bâle) est un peintre, graphiste, photographe, artiste d'objets et d'installations et artiste conceptuel suisse. Il vit à Zoug depuis 1996. Jean-Frédéric Schnyder a grandi dans un orphelinat à Berne. Entre 1962 et 1965, il effectue un apprentissage de photographe à Wengen. À partir de 1966, il crée ses premières œuvres artistiques que l'on peut qualifier d'objet d'art proche du Pop Art . En 1969, Harald Szeemann l'invite à participer à l'exposition When Attitudes Become Form à la Kunsthalle de Berne. À partir de 1970, Schnyder travaille avec la peinture à l'huile et l'art conceptuel. En 1972, il participe à la Documenta 5 à Kassel dans la section Mythologies individuelles avec plusieurs objets. Il est également représenté comme artiste à la Documenta 7 en 1982. Jean-Frédéric Schnyder a réalisé d'importantes expositions personnelles en 1987 à la Kunsthalle de Bâle, en 1992 au Kunstmuseum Bern et à l' Aargauer Kunsthaus Aarau. En 1993, Schnyder représente la Suisse à la Biennale de Venise. En tant qu'artiste, Jean-Frédéric Schnyder est un artiste autodidacte. Son travail, ses médias et ses sujets sont divers. En tant que peintre, il a travaillé dans les domaines situés entre le réalisme,…

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La Chartreuse d’Ittingen (Suisse).

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La chartreuse Saint-Laurent d'Ittingen est une ancienne chartreuse située en Suisse dans la commune de Warth-Weiningen du canton de Thurgovie. C'est aujourd'hui un lieu de séminaires et de conférences avec un petit musée, ainsi que des hôtels et un restaurant. Certaines parties sont occupées par un foyer pour personnes frappées de troubles psychiques. Un fort de bois est construit par les seigneurs d'Ittingen vers l'an 800 à l'ouest du « Chrüzbuck », drumlin recouvert de forêt près de la route d'Uesslingen. Du IXe au XIIIe siècle, le château fort d'Ittingen est le siège des seigneurs d'Ittingen, famille de la petite noblesse militaire et ministériels des Guelfes. En 1079, le fort de Hittingin est détruit par les troupes de l'abbé de Saint-Gall à l'époque de la querelle des Investitures qui oppose Henri IV au pape Grégoire VII. Le château est reconstruit, sans doute en réparations. Le noyau du nouveau château se trouve à l'emplacement de l'aile sud du monastère. Pendant soixante-dix ans, le château est le siège des drossards d'Ittingen. En 1150, les trois derniers représentants de la famille d'Ittingen fondent dans leur château un monastère qu'ils placent sous la règle de saint Augustin et y prononcent eux-mêmes leurs vœux. Ils sont appuyés dans cette entreprise par l'évêque de Constance et par les Guelfes, et le comte de Kybourg en devient…

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L’Église de Soubey (Suisse).

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Selon les dates figurant au-dessus du portail sud, l’église de Soubey a été construite entre 1632 et 1670. Choeur et nef sont placés en ligne continue. Rénovation en 1888. Rénovation par Jeanne Bueche et remplacement du mobilier en 1961-62. A cette occasion, on a rétabli le toit en bâtière du clocher, qui est percé de baies de style gothique tardif. Toiture en dalles de pierre, appelées « laves », restaurée en 1981-82. C'est le dernier exemple de ce type de couverture dans le Jura suisse. Au-dessus du portail sud, une inscription, datée de 1632, rappelle la consécration de l'église sous le prince-évêque Jean-Henri d'Ostein. Plafond en bois avec poutraison apparente. Grandes fenêtres en ogive au choeur et dans la nef, oeils-de-boeuf à la tribune. Vitraux de 1962, par Coghuf. Le sol de la nef est formé de pierres tombales, dont quatre datent des XVIIe et XVIIIe siècles. Tabernacle de 1962, par Albert Schilling, Arlesheim. Lampe de sanctuaire de la fin du XVIIIe siècle. Le crucifix du choeur, du XVIe siècle, probablement d'origine autrichienne, et la Vierge toscane du XVe siècle sont des oeuvres acquises par la paroisse en 1962. Chemin de croix du XIXe siècle attribué à un artiste itinérant belge. Dans…

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