Philatélie thématique

Le phare du Cap Fréhel (Côtes d’Armor).

Le phare du cap Fréhel est un phare maritime des Côtes-d’Armor (France). Le phare actuel, construit de 1946 à 1950 sur la pointe du cap Fréhel, à près de 70 m au-dessus des flots, succède à 2 constructions plus anciennes implantées sur les mêmes lieux. Il éclaire et sécurise fortement le passage de la baie de Saint-Brieuc vers la rade de Saint-Malo très difficile d’accès car battue par les vents. Le phare fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par arrêté du 23 mai 2011.


En mai 1694, Vauban inspecte les côtes nord de Bretagne et propose l’édification d’une tour pour avertir des attaques de la flotte anglaise. À cette époque, le commissaire général des fortifications de Louis XIV a déjà fait construire plusieurs phares (le phare du Stiff à Ouessant, le phare des Baleines sur l’île de Ré, le phare de Chassiron à Oléron).

L’ingénieur Siméon Garangeau reprend les plans du phare du Stiff pour construire ce premier phare allumé en 1702 (mais uniquement les mois d’hiver).

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La recherche médicale.

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La recherche médicale se divise en recherche fondamentale et clinique.

La recherche médicale fondamentale vise à mieux comprendre le corps humain et ses maladies.

La recherche médicale clinique se base sur les résultats de la recherche fondamentale pour inventer et prouver l’efficacité de nouveaux traitements.


La recherche fondamentale en médecine vise à mieux comprendre le corps humain et ses maladies. Son spectre est très large et largement lié aux autres sciences. On peut principalement citer la biologie, la biochimie, l’histologie, l’anatomie, et la physiologie. La science est encore loin d’avoir percé tous les mystères de la vie. Les études de recherche fondamentale portent donc tant sur le fonctionnement normal que pathologique des systèmes vivants. Bien qu’elle n’ait pas d’application clinique directe, elle permet d’établir les fondements scientifiques sans lesquels rien n’est possible.

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Paul Sérusier, peintre postimpressionniste.

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Paul Sérusier, né le 9 novembre 1864 à Paris1 et mort le 7 octobre 1927 à Morlaix, est un peintre postimpressionniste français, associé au mouvement des nabis.


Paul Sérusier naît dans une famille de classe moyenne aisée. Son père, un homme d’affaires qui travaille dans l’industrie du parfum, lui assure une éducation classique. En 1875, Sérusier est admis au lycée Condorcet à Paris où il étudie la philosophie, le grec, le latin et les sciences. Il reçoit ses deux diplômes de philosophie et de sciences en 1883.

En 1885, après avoir travaillé dans la société d’un ami de son père pendant une courte période, il entre à l’Académie Julian. D’un caractère agréable, il sympathise vite avec les étudiants et les professeurs. Son amitié avec Maurice Denis date de cette époque.

Il passe l’été 1888 à la pension Gloanec de Pont-Aven, en Bretagne, ville qui attire alors beaucoup d’artistes français et étrangers. Là, son attention se porte sur un petit groupe d’artistes qui gravitent autour d’Émile Bernard et de Paul Gauguin. Il se rapproche d’eux et reçoit même une leçon gratuite de Paul Gauguin, lorsque ce dernier lui présente son Christ jaune. Gauguin encourage Sérusier à se débarrasser de la contrainte imitative de la peinture, à user de couleurs pures, vives, à ne pas hésiter à exagérer ses visions, et à donner à ses peintures sa propre logique décorative et symbolique.

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