Les méharistes.

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Méhariste est un mot français qui se traduit approximativement par cavalerie de chameaux . Le mot est le plus couramment utilisé pour désigner des unités militaires.


La France a créé un corps de compagnies de chameaux méharistes (Compagnies Méharistes Sahariennes), dans le cadre de l’ Armée d’Afrique, au Sahara en 1902. Ces unités ont remplacé les unités régulières de spahis et de tirailleurs algériens utilisés auparavant pour patrouiller les frontières du désert. Les Compagnies méharistes nouvellement créées ont été à l’origine recrutées principalement dans la tribu nomade Chaamba et commandées par des officiers des Affaires Indigènes françaises (Bureau des affaires indigènes). Chaque compagnie de Méharistes comprenait six officiers, 36 sous-officiers et soldats français et 300 soldats chaamba. Leurs bases étaient à Tabelbala, Drar, Ouargla, Fort Polignac and Tamanrasset.

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Francisco de Quevedo y Villegas, écrivain.

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Francisco Gómez de Quevedo Villegas y Santibáñez Cevallos, né  probablement le 14 septembre 1580 à Madrid et mort le 8 septembre 1645 à Villanueva de los Infantes, province de Ciudad Real, est un écrivain espagnol du Siècle d’or, dont il est l’une des figures les plus importantes et les plus complexes de la littérature.


Francisco de Quevedo est probablement né le 14 septembre 1580 à Madrid. Il a été baptisé le 26 septembre. Il a perdu son père, Pedro Gómez de Quevedo y Villegas, en 1586, à six ans. Sa mère María de Santibañez aura la charge de ses fils jusqu’à sa propre mort, en 1600 et veillera à leur donner la meilleure éducation, malgré la situation économique difficile dans laquelle la mort de son mari a plongé la famille. Après avoir fréquenté le collège impérial des jésuites de Madrid, Quevedo poursuit ses études, en 1594, au collège des jésuites d’Ocaña, en bénéficiant d’une bourse accordée par le roi, grâce à l’intervention de sa grand-mère, Felipa de Espinosa.

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