Ville de Médéa (Algérie).

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Médéa (en arabe : المدية, en tamazight : ⵍⵎⴷⵉⵢⵜ) est une commune algérienne, chef-lieu de la wilaya de Médéa. Capitale du Titteri, elle est située à 90 km au sud-ouest d'Alger. Médéa est refondée au xe siècle par Bologhine ibn Ziri, elle devient au xvie siècle le siège du beylik du Titteri. La commune compte 138 355 habitants en 2008. Médéa, à 981 m d'altitude, est une ville de montagne de l'Atlas tellien. Capitale de la région montagneuse du Titteri, elle est située dans une dépression entre le massif de l'Ouarsenis au sud et l'Atlas blidéen au nord, au pied du djebel Nador qui culmine à 1 108 m d'altitude. La ville est bâtie en amphithéâtre sur un plateau incliné. La commune se trouve au nord-ouest de la wilaya. La ville est située à 90 km au sud-ouest d'Alger, à 48 km à l'est de Khemis Miliana, à 24 km au sud de Blida et à 42 km au nord de Ksar el Boukhari. Médéa occupe l’emplacement d’un établissement romain, Lambdia. Des indices matériels témoignent de l'emplacement de la ville de Médéa sur un établissement romain tel que l'aqueduc et des objets archéologiques découverts après la conquête française. Le site de Médéa a été choisi pour la fondation d'un camp militaire…

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Ville d’Hassi Messaoud (Algérie)

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Hassi Messaoud (en arabe : حاسي مسعود) est une commune algérienne de la wilaya de Ouargla, située à 86 km au sud-est de Ouargla; à 172 km au sud de Touggourt et à 800 km au sud-est de la capitale Alger. L'économie de la ville est largement tournée vers l'exploitation de son gisement de pétrole. Hassi Messaoud est située au milieu du Sahara algérien à 86 km au sud-est de Ouargla, à 172 km au sud de Touggourt et à 800 km au sud-est de la capitale Alger. Hassi Messaoud, alors simple lieu-dit dans le désert saharien, est sortie de l’anonymat en juin 1956. Cette année-là, en pleine guerre d’Algérie, la société française SN Repal découvre du pétrole dans le sous-sol sous forme de grès imprégné. Hassi-Messaoud confirme les richesses du sous-sol déjà suggérées par le travail des prospecteurs à Edjeleh, à proximité de la frontière libyenne. Le premier puits porte le nom de MD1. Cette découverte, qui a coûté la vie à Jean Riemer, devient stratégique pour la France l'année même où Nasser nationalise brusquement le canal de Suez. Elle renforce la présence de l'armée en prévision de possibles convoitises du Front de libération nationale (FLN). En pleine guerre froide entre les États-Unis et l’Union soviétique, la France voit dans cette découverte de pétrole un espoir de maintenir quelque temps une indépendance énergétique face aux deux superpuissances de l’époque. L’exploitation du gisement commence vraiment le 7 janvier 1958, jour où les vannes des citernes de stockage de…

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Le barrage de Foum El Gherza (Algérie).

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Le barrage de Foum El Gherza est situé dans la région de Biskra, en Algérie. Sa construction a commencé dans les années 1970 et a été achevée dans les années 1990. L'histoire du barrage remonte aux années 1960, lorsque le gouvernement algérien a lancé un programme de développement agricole dans la région du sud-est du pays. L'idée était d'irriguer les terres arides et désertiques pour permettre la mise en valeur agricole de la région. Le barrage de Foum El Gherza a été construit sur l'oued Righ, un affluent du fleuve Sahara qui traverse la région de Biskra. Il a une capacité de stockage de 288 millions de mètres cubes d'eau, ce qui en fait l'un des plus grands barrages d'Algérie. La construction du barrage a nécessité la création d'une infrastructure importante, y compris des digues, des canaux d'irrigation et des stations de pompage. De vastes terres agricoles ont également été aménagées pour exploiter l'eau stockée dans le barrage. Le barrage de Foum El Gherza a joué un rôle clé dans le développement agricole de la région, permettant la mise en culture de vastes territoires et l'expansion de la production agricole. Il a également fourni de l'eau pour l'irrigation et l'approvisionnement…

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