Azem Bejta (10 décembre 1889 – 15 juillet 1924), communément appelé Azem Galica, était un nationaliste et rebelle albanais qui s’est battu pour l’unification du Kosovo avec l’Albanie.

Azem Bejta est né dans le village de Galica dans la ville de Vushtrri du Kosovo Vilayet, Empire ottoman. Il était le fils de Bejta Galica, un rebelle mort en combattant l’ Empire ottoman et pour la séparation de l’ Albanie de l’État serbe. Azem a suivi son père et a combattu pour la première fois contre le Royaume de Serbie en 1912.

Azem Galica était l’un des leaders de la résistance armée à la domination serbe au Kosovo dans les années 1912-1914. Avec ses combattants Kacak, il a résisté aux forces serbes qui sont entrées au Kosovo pendant les guerres des Balkans et au début de la Première Guerre mondiale. Au cours de l’hiver 1915-16, pendant la Première Guerre mondiale, la Serbie est occupée par la Bulgarie et l’Autriche-Hongrie après la victoire des puissances centrales au Kosovo fin novembre 1915.

En 1915, après l’occupation austro-hongroise du Kosovo suite à la déroute des Serbes, Azem Galica entame une résistance armée contre les nouveaux envahisseurs. [3] Cependant, après la persuasion de Luigj Gurakuqi , Prenk Bib Doda et Fejzi Alizoti , ainsi que l’ouverture de 300 écoles albanaises, le droit de battre le drapeau albanais et l’assurance que les Autrichiens respecteraient les coutumes du pays, le De langue albanaise et de religion chrétienne et musulmane, Azem Galica a accepté l’occupation autrichienne.

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Michel Koliqi ou Mikel Koliqi, né le 29 septembre 1902 à Shkodër (Shkodra) en Albanie et mort le 28 janvier 1997 à Shkodër, est un cardinal albanais de l’Église catholique.

Il étudie la philosophie et la théologie catholique à Milan. Il est ordonné prêtre le 30 mai 1931 et exerce son ministère dans le diocèse de Shkodër. En 1936 il devient vicaire général du diocèse. Il crée l’école de cathédrale, devient éditeur d’un journal hebdomadaire catholique et écrit des pièces de théâtre.

Après 1945, il passe 21 ans en prison au travail forcé en tant que prisonnier politique du régime communiste. On lui reproche d’avoir écouté les stations de radio étrangères et son engagement auprès de la jeunesse catholique. En 1986 il est libéré de la prison en raison de son âge.

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Jean-Sébastien Bach (en allemand : Johann Sebastian Bach, né à Eisenach (Duché de Saxe-Eisenach) le 21 mars 1685 (31 mars 1685 dans le calendrier grégorien) et mort à Leipzig le 28 juillet 1750, est un musicien, notamment organiste, et compositeur allemand.

Membre le plus éminent de la famille Bach — la famille de musiciens la plus prolifique de l’histoire —, sa carrière se déroule entièrement en Allemagne centrale, dans le cadre de sa région natale, au service de petites municipalités, de cours princières sans importance politique, puis du conseil municipal de Leipzig, qui lui manifeste peu de considération : ainsi, jamais il n’obtient un poste à la mesure de son génie et de son importance dans l’histoire de la musique occidentale, malgré la considération de certains souverains allemands, tel Frédéric le Grand, pour le « Cantor de Leipzig ».

Orphelin de bonne heure, sa première formation est assurée par son père, Johann Ambrosius Bach, puis par son frère aîné, Johann Christoph Bach. Mais il est aussi un autodidacte, passionné de son art, copiant et étudiant sans relâche les œuvres de ses prédécesseurs et de ses contemporains, développant sa science de la composition et particulièrement du contrepoint jusqu’à un niveau inconnu avant lui et, depuis lors, jamais surpassé. Jean-Sébastien Bach est un virtuose de plusieurs instruments, le violon et l’alto, mais surtout le clavecin et l’orgue. Sur ces deux derniers instruments, ses dons exceptionnels font l’admiration et l’étonnement de tous ses auditeurs ; il prétend tout jouer à première vue et peut improviser sur-le-champ une fugue à trois voix. Il a aussi une compétence reconnue et très sollicitée en expertise de facture instrumentale.

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