O. Henry, écrivain.

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William Sydney Porter (11 septembre 1862 – 5 juin 1910), mieux connu sous son pseudonyme O. Henry , était un écrivain américain connu  principalement pour ses nouvelles, bien qu’il ait également écrit de la poésie et des ouvrages non-fictionnels. Ses œuvres incluent « Le Don des Mages », « La Duplicité de Hargraves » et « La Rançon du Chef Rouge », ainsi que le roman Cabbages and Kings . Les histoires de Porter sont connues pour leurs observations naturalistes , leur narration pleine d’esprit et leurs fins surprises.


William Sidney Porter est né le 11 septembre 1862 à Greensboro, en Caroline du Nord , pendant la guerre civile américaine . Il a changé l’orthographe de son deuxième prénom en Sydney en 1898. Ses parents étaient Algernon Sidney Porter (1825-1888), médecin, et Mary Jane Virginia Swaim Porter (1833-1865). Les parents de William s’étaient mariés le 20 avril 1858. Quand William avait trois ans, sa mère mourut après avoir donné naissance à son troisième enfant, et lui et son père emménagèrent dans la maison de sa grand-mère paternelle. Enfant, Porter lisait toujours, des classiques aux romans à dix sous ; ses œuvres préférées étaient la traduction de Lane des Mille et une nuits et Anatomy of Melancholy de Burton.

Porter est diplômé de l’école primaire de sa tante Evelina Maria Porter en 1876. Il s’est ensuite inscrit à la Lindsey Street High School. Sa tante a continué à lui donner des cours particuliers jusqu’à l’âge de 15 ans. En 1879, il a commencé à travailler dans la pharmacie de son oncle à Greensboro et le 30 août 1881, à l’âge de 19 ans, Porter a obtenu son permis de pharmacien. À la pharmacie, il a également montré ses talents artistiques naturels en dessinant les citadins.

Porter voyagea avec James K. Hall au Texas en mars 1882, dans l’espoir qu’un changement d’air aiderait à soulager une toux persistante qu’il avait développée. Il a élu domicile dans le ranch de moutons de Richard Hall, le fils de James Hall, dans le comté de La Salle et a travaillé comme berger, employé de ranch, cuisinier et baby-sitter. Pendant qu’il était au ranch, il a appris des morceaux d’espagnol et d’allemand grâce à un mélange d’employés autochtones et immigrés du ranch. Il a également passé du temps à lire des œuvres littéraires classiques.

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Nikolaï Zinine, chimiste organicien.

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Nikolaï Nikolaïevitch Zinine (en russe : Николай Николаевич Зинин), né le 25 août 1812 à Chouchi et mort le 18 février 1880 à Saint-Pétersbourg), est un chimiste organicien russe. Nikolaï Zinine étudie à l'université de Kazan où il enseigne comme maître ès sciences dès 1837. Il étudie à Giessen auprès de Justus Liebig et y achève ses recherches sur la condensation benzoine. L'université de Saint-Pétersbourg lui décerne le titre de docteur ès sciences, il obtient la chaire de chimie à Kazan, puis celle de l'Académie de médecine de Saint-Pétersbourg où il enseigne de 1848 à 1874. Il est membre de l'Académie des sciences de Russie et de la Société de physique et de chimie de Russie. Il est principalement connu pour la réduction de Zinine, procédé qu'il utilisa en 1842 pour la réduction du nitrobenzène qui lui permit d'obtenir de l'aniline (qu'il nomma à l'époque benzidam). Source : Wikipédia.

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Mesrop Machtots, moine et théologien.

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Moine, théologien et linguiste inventeur de l’alphabet arménien, Mesrop Machtots (ou Mesrob Machtotz) est né vers 360 à Hatsik (ou Hatsekats), près de Taron, en Arménie (auj. Mus en Turquie), et mort le 17 février 440 à Vagharshapat (auj. Etchmiadzine). Après des études dans les lettres et langues classiques sous la direction du patriarche Nersès Ier, il embrasse la vie monastique vers 395.

Ordonné prêtre, il continue à nourrir un grand respect pour l’ascétisme et fonde plusieurs monastères. Il va s’employer à propager la parole des Saintes Écritures dans les contrées reculées d’Arménie, ce qui permet d’éradiquer le mazdéisme, religion héritière du zoroastrisme. Plus tard, il devient secrétaire du roi Vramchapouh, dont il reçoit le soutien dans sa tâche de systématisation d’un alphabet arménien définitif de trente-six lettres, calqué sur le grec (405). On considère qu’il bénéficie également de l’aide de Sahak Partev (Isaac le Grand), patriarche de l’Église apostolique arménienne, ainsi que d’un érudit grec du nom de Rufanos.

Deux lettres seront ajoutées au XIIe siècle. Cet alphabet va servir en premier lieu à traduire, à partir du grec, la première Bible arménienne populaire (vers 410), en krapar (langue arménienne de cette époque, Ve-VIIe siècles, et langue liturgique actuelle). Mesrop Machtots assure dans ce cadre la traduction du Nouveau Testament et du Livre des Proverbes de l’Ancien Testament. Il procédera par la suite à une révision de l’intégralité du texte biblique. Tous ses efforts vont ainsi participer à l’âge d’or de la littérature chrétienne en Arménie.

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