Zond 7.
Zond 7 , membre officiel du programme soviétique Zond et version non pilotée du vaisseau spatial de survol de la Lune avec équipage Soyouz 7K-L1 , le premier test véritablement réussi de L1, a été lancé vers la Lune sur une fusée Proton-K D le 7 août 1969, en mission d’études plus approfondies de la Lune et de l’espace circumlunaire, pour obtenir des photographies couleur de la Terre et de la Lune à différentes distances et pour tester en vol les systèmes du vaisseau spatial. Des photos de la Terre ont été prises le 9 août 1969. Le 11 août 1969, le vaisseau spatial a survolé la Lune à une distance de 1 984,6 km et a effectué deux séances de prise de photos. À son retour de la Lune, le vaisseau spatial a testé ses systèmes radio en transmettant des voix enregistrées. Zond 7 transportait quatre tortues, une suite à la mission Zond 5 de septembre 1968 qui transportait deux tortues lors d’une mission lunaire circumlunaire, et à la mission Zond 6 qui transportait également des tortues.
Zond 7 est rentré dans l’atmosphère terrestre le 14 août 1969 et a réalisé un atterrissage en douceur dans une région prédéfinie au sud de Kustanai , au Kazakhstan. Un fantôme équivalent à un tissu humain pour les mesures de rayonnement a été placé à bord. Le fantôme était équipé de 20 canaux pour détecteurs de rayonnements (verres thermoluminescents et photoémulsions nucléaires) répartis sur tout le corps pour la mesure des doses dans les organes critiques. Les doses accumulées pendant le vol à travers les ceintures de radiations et autour de la Lune étaient comprises entre 0,2 et 0,7 rad en différents points à une profondeur de 3 g/cm 2 de la surface du corps.
Comme les autres vaisseaux circumlunaires Zond , Zond 7 a utilisé une technique relativement rare appelée saut de rentrée pour perdre de la vitesse lors de son retour sur Terre. De tous les lancements circumlunaires soviétiques Zond, Zond 7 aurait été le premier à effectuer un vol en toute sécurité pour un cosmonaute s’il avait été équipé d’un équipage.
Les premières mines de charbon sont découvertes en 1820. L’histoire de la ville commence en 1869, lorsqu’un immense centre métallurgique est fondé par un homme d’affaires gallois, John James Hughes, qui reçoit la concession de l’exploitation de mines de charbon autour d’un des villages cosaques. Celui-ci prend le nom de Iouzovka (Iouz étant la transposition phonétique de Hughes). Iouzovka est divisée en deux parties : Zavodskaïa (de l’usine) et Novy Svet (Nouveau Monde). La partie centrale de la ville se construit en direction du nord à partir de l’usine, jusqu’à la gare de chemin de fer. En 1889, une usine métallurgique et une usine de fonte (usine Bosse et usine Hennefeld) se construisent au sud, ainsi que des ateliers de réparation et de matériel de forage (aujourd’hui usine Routtchenski).
Mikhaïl Ivanovitch Avilov est né le 6 septembre 1882 à Saint-Pétersbourg. De 1893 à 1903, il étudie à l’École de dessin de la Société impériale pour l’encouragement des arts, puis dans l’atelier privé de l’artiste Léon Dmitriev-Kavkazsky. De 1904 à 1910, Avilov étudie à l’ Académie impériale des arts en tant qu’élève de Franz Roubaud et Mykola Samokysh. À partir de 1908, il commence à participer à des expositions d’art.