Carl Oscar Kylberg, né le 23 septembre 1878 à Fridene et mort le 6 janvier 1952 à Stockholm, était un peintre suédois dont les peintures à l’huile sont souvent connues pour leurs couleurs éclatantes.

Carl Kylberg est né à Vasängen dans la paroisse de Fridene dans le  Västergötland en tant que fils du chef de bureau Gustaf Kylberg et de la baronne Eleonora von Essen. Il était le frère de Henrik Kylberg, Ulla Rinman , Fredrik Kylberg et Erik Kylberg. Ses oncles et tantes étaient les artistes Regina Kylberg-Bobeck, Marina Kylberg et Hjalmar Kylberg. Le grand-père Lars Wilhelm Kylberg était artiste parallèlement à l’agriculture sur le domaine familial Såtenäs dans le Västergötland.

Kylberg a d’abord étudié à l’école technique de Stockholm et à Berlin pour devenir architecte , mais s’est tourné vers la peinture vers 1900. Il a étudié pendant un certain temps à Valand à Göteborg en tant qu’élève de Carl Wilhelmson . Son travail se caractérise souvent par une peinture à l’huile éclatante aux couleurs vives et il représente souvent des paysages et des compositions de personnages de manière épurée. Au cours de la dernière partie de sa carrière artistique, il crée une variété de motifs religieux.

Vers les années 1930, il fit sa percée et il vint exposer, outre la Suède, à Copenhague, Paris, Londres, Budapest et aux États-Unis, mais sa peinture était trop provocante pour beaucoup et en 1938, le gouvernement intervint et arrêta l’achat de le tableau Le soulèvement pour le Musée national de Stockholm. L’actrice Tora Teje et d’autres ont alors acheté conjointement le « tableau scandaleux » et en ont fait don au musée, après quoi un nombre inattendu de visiteurs sont venus le voir en particulier.

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Arne Julius Jones, né le 20 octobre 1914 à Borgsjö, décédé le 8 octobre 1976 à Sollentuna et enterré au cimetière nord de Stockholm, était un artiste suédois.

Arne Jones s’est inscrit comme étudiant à Ålsta Folkhögskola à Medelpad à l’âge de 17 ans. Là, au cours de la deuxième année, il rencontre l’écrivain Lars Ahlin. Leur profonde amitié durera toute la vie et Lars Ahlin a également aidé Arne Jones à financer ses études à l’Académie royale des arts de Stockholm où il fut accepté en 1942. Avant cela, lorsqu’il arriva à  Stockholm en 1936, il suivit le cours du soir de l’école technique de Stockholm. dessin publicitaire. Dans la classe de modelage ornemental, il perfectionne son métier avec succès et obtient par la suite un contrat d’apprentissage dans une entreprise de pierre et de sculpture. Le travail consistait notamment à laisser les ciseaux fraîchement aiguisés aux sculpteurs. C’est ainsi qu’il entra en contact avec Bror Hjorth, qui devint en quelque sorte un enseignant.

Arne Jones était l’élève d’ Eric Grate à l’Académie des Arts de Stockholm et était l’un des principaux sculpteurs innovants avec, entre autres, Palle Pernevi. L’art nouveau est qualifié de concret à la Galerie Blanche en 1949. Olle Bonniér, Pierre Olofsson, Karl Axel Pehrson et Arne Jones participent à cette exposition qui, plus que toute autre, proclame l’art concret et constitue une véritable avancée pour les participants. La même année, se tient également l’Exposition mondiale du sport et dans la revue Prisma, Olle Bonniér publie un célèbre manifeste.

Le groupe d’artistes a présenté un nouveau programme d’action concret pour l’art, dans le but de diffuser l’art dans l’environnement public. Jones a développé ses sculptures à partir d’une forme de base, qui pouvait être construite et variée de différentes manières. Ce dernier matériau repose le plus souvent sur un classicisme poétique , une volonté d’associer des matériaux modernes à un thème classique.

Arne Jones a fait sa véritable percée en 1947 et est représenté avec des sculptures dans de nombreuses villes suédoises et dans les musées d’art suédois, notamment la collection de portraits Bonnierska.

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Henrik Pontoppidan (Fredericia, 24 juillet 1857 – Charlottenlund, 21 août 1943) est un écrivain réaliste danois, auteur de nombreux romans, Prix Nobel de littérature en 1917.

Il est issu d’une famille ancienne dont un ancêtre au XVIIe siècle avait pris le nom latinisé de Pontoppidan parce qu’il était régisseur du domaine de Broby (bro = pons, by = oppidum). Henrik Pontoppidan naît le 24 juillet 1857 à Frédérica où son père, Dines Pontoppidan, était pasteur avant d’être nommé à Randers en 1863, ville qui sera occupée par les Allemands et les Autrichiens en 1864, au cours de la guerre les opposant aux Danois.

Pendant toute sa jeunesse, il est influencé par le “grundtvigianisme” de son père (adepte de l’enseignement de Grundtvig) et par sa mère qui, malgré ou à cause des 16 enfants qu’elle a eus, est souvent souffrante et toujours fatiguée.

Malgré les modestes ressources financières de son père, il étudie à l’École Polytechnique de Copenhague, où il obtient son diplôme d’ingénieur.

Il commence sa carrière littéraire en 1881, comme nouvelliste. Il épouse la même année une jeune paysanne d’Œstby, Mette Hansen (1855-1939). Il publie alors un recueil sous le titre Ailes rognées (Staekkede Vinger). En 1884, il s’installe à Œstby avec sa femme et leurs deux enfants mais divorce en 1892 pour épouser Antoinette Kofoed (1862-1928).

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