Ville de Périgueux (Dordogne).

Périgueux est une commune française, la plus peuplée du Périgord, située dans le centre-est de la région Nouvelle-Aquitaine. Chef-lieu du département de la Dordogne depuis 1791, la commune compte 29 966 habitants en 2017, pour une aire urbaine totalisant plus de 103 000 habitants la même année. L’unité urbaine de Périgueux est la 96e unité urbaine la plus peuplée de France.

Labellisée « 4 fleurs », Périgueux est la capitale culturelle et touristique du Périgord blanc, dans la vallée de l’Isle. La ville offre aux touristes un patrimoine historique gallo-romain, médiéval et de la Renaissance. Reconnue ville d’art et d’histoire, Périgueux possède 44 monuments historiques inscrits ou classés, et trois musées labellisés Musées de France, dont deux municipaux. La ville conserve et met en valeur son riche patrimoine civil, militaire et religieux, dont sa cathédrale Saint-Front, classée au titre des monuments historiques ainsi qu’au patrimoine mondial de l’UNESCO.

La cité date du Ier siècle av. J.-C., pendant l’occupation romaine en Gaule : les Romains s’installent dans la plaine de l’Isle et créent la ville de Vesunna, à l’emplacement de l’actuel quartier sud. Celle-ci était la capitale romaine de la cité des Pétrocores. La ville de Périgueux naît en 1240 de l’union de « la Cité » (l’antique Vesunna) et du « Puy-Saint-Front ». Depuis, elle reste le centre du Périgord, subdivision historique de l’Aquitaine, puis est la préfecture du département français de la Dordogne. Elle s’agrandit encore en 1813 avec l’ancienne commune de Saint-Martin.

Périgueux, carte maximum, 26/10/2018.

En matière économique, Périgueux, centre du principal bassin d’emploi du département, abrite le siège social de plusieurs entreprises régionales. La commune compte un employeur de quelque 700 salariés, les « ateliers du Toulon » de la SNCF. Bénéficiant du tourisme pour son patrimoine, elle est de plus une étape gastronomique notable au cœur du Périgord. Différentes festivités culturelles et compétitions sportives sont organisées afin d’animer la région.


Vers 200 av. J.-C., « les Pétrocoriens habitaient la région située entre la Dordogne et la Vézère », selon Venceslas Kruta. Ils s’installent pendant cette période sur les hauteurs en rive gauche de l’Isle et créent, sur l’actuel territoire de Coulounieix-Chamiers, un camp fortifié à la Boissière, également connu sous le nom de « camp de César à la Curade ». Les Pétrocores étaient en Gaule et non en Aquitaine, car avant la conquête romaine, ces deux territoires étaient séparés par la rivière Garumna, comme l’a écrit Jules César.

En 52 av. J.-C., ils fournissent à Vercingétorix environ 5 000 guerriers, pour l’aider à affronter les légions romaines de Jules César.

En 27 av. J.-C., lors de l’organisation administrative de la Gaule effectuée par Auguste, Périgueux est placée dans la province aquitaine68,69. Le camp de la Boissière est abandonné et la Vesunna gallo-romaine, future Périgueux, est créée entre 25 et 16 av. J.-C. et développée par les habitants romanisés, ayant conservé leurs divinités gauloises. Aux IIe et IIIe siècles, cette cité romaine prospère et s’embellit avec temples, bains, amphithéâtre, forum, etc. On attribue à Vesunna 15 000 à 20 000 habitants. Celle-ci devint à la fin du IIIe siècle la capitale de la cité des Pétrocores. À la fin du IIIe siècle, à la suite de l’invasion attribuée aux Alamans, la cité romaine se rétrécit sur cinq hectares et demi, en se retirant sur un petit plateau derrière des remparts. Intégrant la moitié nord-ouest de l’amphithéâtre de Vesunna, ces murailles sont construites par remploi d’éléments des monuments de la ville (des vestiges subsistent de ces remparts) et cette troisième cité prend le nom de Civitas Petrucoriorum (« cité des Pétrocores »), lieu qui va devenir « la Cité ».

Vésone est détruite vers l’an 410 par les barbares, favorisant l’apparition aux VIe et VIIe siècles du Puy-Saint-Front.

Au IXe siècle, les Normands, remontant l’Isle, pillent à plusieurs reprises la Cité. Vers la fin du Xe siècle, au nord-est et en bordure de l’Isle, autour d’un monastère que l’évêque Frotier avait fait construire en l’honneur de saint Front, se développe un nouveau centre fortifié, nommé à cette époque le « bourg du Puy-Saint-Front ». Pour se protéger des envahisseurs, les deux villes voisines édifient des murailles.

Vers 1040, Périgueux est perturbée par des troubles ayant pour cause la monnaie frappée par le comte de Périgord, Hélie II. Peu de temps après, l’évêque Girard de Gourdon, la considérant défectueuse et de mauvaise qualité et l’ayant interdite, le comte Aldebert II, fils d’Hélie II, décide de prouver, les armes à la main, qu’elle lui convient. De ce fait, la Cité doit prendre part à une guerre longue et meurtrière contre le comte. Les quelques habitations placées sous la protection du nouvel établissement religieux du Puy-Saint-Front sont incendiées vers 1099 ; le couvent et le bourg ne tardent pas à être reconstruits.

De nombreux pèlerins viennent se recueillir sur le lieu où sont conservées les reliques de saint Front74 ; au XIIe siècle, le nombre de maisons s’accroît et l’agglomération est de plus en plus ample. Cependant, au fil du temps, les habitants du bourg se désunissent ; vers 1130, dans une querelle avec le couvent, une partie des bourgeois du Puy-Saint-Front s’allie avec le comte Hélie-Rudel. Cette situation attise sa convoitise, persuadé qu’après avoir conquis le Puy-Saint-Front, il lui serait plus facile de soumettre enfin la Cité, ce qu’aucun de ses ancêtres n’a réussi à faire. À la même époque, les comtes dominent le Puy-Saint-Front.

Vers 1150, Boson III, dit de Grignols, fait ériger une grande et forte tour, destinée à commander et surveiller la Cité, dont il vient de s’emparer. Mais cette tentative d’oppression lui est fatale, ainsi qu’à ses descendants, car elle excite la colère du roi Henri II d’Angleterre, devenu duc d’Aquitaine par alliance. La tour est détruite en 1182, époque à laquelle, à la suite d’un traité avec le comte Hélie V, le Puy-Saint-Front est remis entre les mains du fils d’Henri II d’Angleterre, Richard, qui fait détruire toutes les fortifications construites par lui et son prédécesseur. C’est à la même période, à la fin du XIIe siècle, que le « bourg du Puy-Saint-Front » s’organise en municipalité.

Après avoir confisqué le duché d’Aquitaine à Jean sans Terre et l’avoir réuni à la couronne de France, Philippe Auguste exige que les peuples et les grands de ce duché lui rendent hommage. Hélie V et les habitants de la future ville de Périgueux prêtent alors serment de fidélité au monarque français en 1204.

Pendant de longues années, le Puy-Saint-Front et les comtes vivent en bonne intelligence. L’organisation municipale de cette ville est depuis longtemps reconnue et constituée par l’autorité royale. Quant à la Cité, elle ne rencontre aucune difficulté avec les comtes. L’état de paix dure jusqu’en 1239 ; une certaine confiance existe même entre le comte Archambaud II et la ville car, à cette époque, cette dernière lui verse 50 livres en échange de l’abandon de la rente annuelle de 20 livres, qu’elle lui devait à chaque Noël.

Pour assurer sauvegarde et assistance mutuelles, et pour que les rivalités s’éteignent, Périgueux naît en 1240, d’un traité d’union des deux bourgs implantés à quelques centaines de mètres l’un de l’autre : la Cité — issue de la Vésone gallo-romaine —, ville de l’évêque et du comte de Périgord, et la ville bourgeoise du Puy-Saint-Front.

Entre les comtes de Périgord et la nouvelle ville, diverses hostilités durent jusqu’en 1250, date à laquelle la discorde est apaisée par l’évêque Pierre III de Saint-Astier. Au XIIIe siècle, de nouveaux bourgeois s’installent à Périgueux afin d’augmenter leur patrimoine foncier, en achetant des parcelles qui se libèrent, tout en profitant des rapports privilégiés qu’ils entretiennent avec leurs paroisses d’origine, où ils gardent encore des propriétés. Revenant dans la région de leurs ancêtres, des marchands drapiers viennent également se fixer à Périgueux, acquérant de nombreuses rentes et terres dans un large rayon autour de la ville. Le comte Archambaud III a d’autres démêlés avec Périgueux : en 1266, c’est à propos de la fabrication de la monnaie, et en 1276 au sujet de sa valeur. Cette lutte de pouvoir continue de génération en génération. Sur le principe, les comtes affectent la puissance souveraine, se prétendant seuls possesseurs du bourg du Puy-Saint-Front depuis le XIIe siècle, puis en allant chercher, au XIVe siècle, l’obtention de la faveur royale. Ces longs conflits prennent fin au XIVe siècle, lorsque le comte de Périgord, Roger-Bernard, fils d’Archambaud IV, devient le vassal des Anglais qui confirment les bourgeois de Périgueux (« Maires, Consuls & Citoyens de la Cité ») dans leurs possessions et leur juridiction.

Depuis le milieu du XIVe siècle, les campagnes autour de Périgueux connaissent une période de crise grave, marquée notamment par une très forte chute de la population due aux effets dévastateurs de la peste noire et de la guerre de Cent Ans. Pendant celle-ci, Périgueux reste fidèle au royaume de France, même lorsqu’elle est occupée par les Anglais entre 1360 et 1363. Durant cette période, les comtes et leurs descendances, résidant le plus souvent dans leur château de Montignac, font allégeance au royaume d’Angleterre. Charles VI leur confisque terres et titres au profit de son frère Louis d’Orléans. Par cession ou par mariage avec la famille d’Orléans, le Périgord passe en 1437 aux mains de la maison de Châtillon, puis dans la maison d’Albret en 1481.

Pendant le Moyen Âge tardif, partout le manque de bras entraîne une contraction de l’espace cultivé : au cœur même du vignoble de la paroisse Saint-Martin, apparaissent des « déserts ».

En mai 1472, par ses lettres patentes, le roi Louis XI confirme les privilèges de la ville, à la suite de la mort de Charles, duc de Guyenne, son frère.

Les guerres de religion sont plus meurtrières pour Périgueux que ne l’a été la guerre de Cent Ans. Périgueux est prise le 6 août 1575 par les calvinistes, commandés par Favas et Guy de Montferrand, puis pillée et occupée. Cette même année, au Puy Saint-Front, la châsse et le reliquaire contenant les restes du saint évêque sont volés, transportés au château de Tiregand où les ossements du saint sont jetés dans la Dordogne. Périgueux reste entre les mains des protestants jusqu’en 1581, année où le capitaine Belsunce, gouverneur de la ville, se la laisse enlever par le catholique Jean de Chilhaud. Le Périgord rejoint la couronne de France en 1589, lorsque son avant-dernier comte, fils de Jeanne d’Albret, devient roi de France sous le nom de Henri IV, tout en laissant le comté en apanage à sa sœur Catherine de Bourbon. Celle-ci, décédée en 1604, sera l’ultime comtesse en titre de Périgord.

Au XVIIe siècle, sous le règne de Louis XIII, la ville est à la frontière d’une région soumise aux rebelles, qui s’étend jusqu’au sud du territoire correspondant à l’actuel département de la Dordogne. Périgueux subit donc des révoltes paysannes mais ne fait pas partie des villes ou châteaux, comme Grignols, Excideuil puis Bergerac, qui ont été pris par les paysans durant cette époque. En octobre 1651, lors de la Fronde, Périgueux accueille les troupes du prince de Condé. En août 1653, elle reste la seule ville du Sud-Ouest hostile au roi, situation qui dure jusqu’au 16 septembre suivant, lorsque ses habitants mettent dehors les frondeurs. C’est en 1669 que le siège cathédral passe de Saint-Étienne-de-la-Cité, ruinée, à la cathédrale Saint-Front, ancienne église de l’abbaye du même nom. En automne 1698, la misère des dernières années, devenue insupportable, amène l’évêque de Périgueux à en appeler à « la bonté du Roy ».

En mars 1783, la ville connait une des plus importantes crues de l’Isle, l’eau noyant la chaussée du pont Saint-Georges et s’élevant jusqu’à 5,21 mètres, record de crue enregistré pour Périgueux. Le clergé, la noblesse et le tiers état viennent de toute la province afin d’élire leurs députés aux États généraux de 1789. Après la création des départements en 1790, l’assemblée départementale se réunit alternativement à Bergerac, Périgueux et Sarlat. Périgueux devient définitivement le chef-lieu de la Dordogne en septembre 1791.

Sous le Premier Empire, la ville, siège de la préfecture, s’agrandit en 1813 en fusionnant avec l’ancienne commune de Saint-Martin. En 1857, Périgueux voit l’arrivée du chemin de fer venant de Coutras et à partir de 1862, l’installation des ateliers de réparation des locomotives et des voitures de la Compagnie du Paris-Orléans. Cette activité survit encore au début du XXIe siècle dans le quartier du Toulon. C’est aussi au XIXe siècle que deux architectes œuvrent à Périgueux. Louis Catoire construit le Palais de justice, le marché couvert du Coderc et le Théâtre — aujourd’hui disparu — et divers immeubles de la place Bugeaud. Paul Abadie restaure la cathédrale Saint-Front.

En 1939, à la suite de l’avancée des forces allemandes en Alsace et en Lorraine, les habitants de ces deux régions sont évacués et répartis dans le Centre-Ouest et le Sud-Ouest de la France. Périgueux accueille ainsi, dès le 5 septembre 1939, des milliers de Strasbourgeois ; la mairie de Strasbourg s’installe au 2 rue Voltaire, dans les locaux de la Chambre de commerce. Les services administratifs repartent à Strasbourg en juillet 1940, mais le maire, Charles Frey, reste à Périgueux jusqu’au 28 novembre 1944.

Les régiments dissous sur le territoire français sont autorisés à organiser l’Armée d’armistice en zone libre, pour maintenir l’ordre. Le 26e régiment d’infanterie devient donc le nouveau régiment de la Dordogne, en août 1940, à Périgueux. Progressivement, la Résistance apparaît dans la ville : mouvements et réseaux se créent, pour la confection et la diffusion, par exemple, de faux-papiers ou de journaux clandestins. Les résistants, engagés dans l’armée, organisent des sabotages et des attentats. Après avoir servi de dépôt de munitions pour la Résistance, l’Institution Saint-Joseph servit de lieu de réunion où, en juin 1942, a été fondé le mouvement de résistance Combat qui a organisé le maquis A.S., formé le 50e et le 26e R.I.. Les fondateurs sont André Boissière, Gabriel de Choiseul-Praslin, Georgette Claude-Gérard, Raymond Faro, H. Hortala, Edmond Michelet, Jean Sigala et J. Villot. Le 3 octobre 1942, le premier attentat par explosif endommage le kiosque de la Légion française des combattants de la ville, situé place Bugeaud, et provoque une fracture entre les gaullistes et les pétainistes. Les effets de la politique collaborationniste de Vichy finissent par dégrader la popularité de Philippe Pétain, entraînant un certain nombre de poilus dans la Résistance.

Le 11 novembre 1942, les troupes allemandes envahissent la zone libre. Les convois allemands entrent dans la ville et s’installent dans le quartier Daumesnil, contraignant le 26e régiment d’infanterie à se dissoudre six jours plus tard. La Gestapo emménage sur l’actuelle place du Général de Gaulle et fait partie de l’administration locale de l’époque, aidée par Paul Lapuyade, délégué départemental de la Légion des volontaires français, qui collecte de nombreux renseignements pour les nazis5.

La Résistance s’intensifie en 1943, provoquant un attentat à la bombe le 9 octobre, qui vise pour la première fois les Allemands, en choisissant comme cible le siège de la Gestapo. Mais des représailles sont immédiatement déclenchées, entraînant l’arrestation de dix-sept résistants et la déportation de la plupart d’entre eux. Le 9 novembre, un nouvel attentat, dirigé contre les Allemands au bureau principal de la gendarmerie, occasionne de nombreux dégâts matériels et des blessés. Une opération répressive est aussitôt organisée, visant majoritairement les Juifs, dont 1 672 sont recensés dans l’arrondissement et 700 dans la ville même. Un important sabotage impulsé par le comité régional des Francs-tireurs et partisans, réalisé par des hommes du Camp Wodli, met hors d’usage, le 13 décembre 1943, une des plus puissantes grues de levage de France, stationnée pour réparation aux ateliers de la SNCF de Périgueux.

Le 10 mai 1944, la milice et la police de Vichy arrêtent et regroupent 211 personnes dans la salle du Palace, puis les transfèrent vers les chantiers du mur de l’Atlantique, pour y effectuer des travaux forcés, les internent dans la Haute-Vienne ou les déportent vers l’Allemagne. Le jour J, les Alliés débarquent en Normandie. Les résistants périgourdins s’attaquent alors à des objectifs militaires afin de paralyser l’ennemi. Les Allemands contre-attaquent en tuant plus de 500 civils. Face à cette situation, l’état-major des Forces françaises de l’intérieur, nouvellement constitué, fixe aux Allemands un ultimatum au 17 août, mais il n’obtient aucune réponse. Le 18 août, un plan d’encerclement de Périgueux est en cours. Dans le même temps, le débarquement de Provence provoque un dénouement soudain pour la ville : Hitler décide le retrait de ses troupes basées dans le sud de la France. Après avoir fusillé, dans un premier temps, 35 résistants, puis 14 autres qui avaient été internés, les Allemands abandonnent la ville, sans destruction ni combat, le 19 août 1944.

Après de fortes pluies entraînant une fonte des neiges accélérée, l’Isle entre en crue centennale et atteint son maximum à 4,50 mètres le 8 décembre 1944, faisant 7 000 sinistrés et inondant un tiers de Périgueux.

En 1945, Hans Kowar, un prisonnier de guerre allemand travaille en Bergeracois, à Nastringues, dans une ferme appartenant à la famille du prêtre Henri Cellerier, qui enseigne la langue allemande à Périgueux. Les deux hommes se lient d’amitié et, revenu chez lui, Kowar fait découvrir sa ville, Amberg, à Cellerier. Dès 1961, une délégation municipale périgourdine se rend à Amberg et le jumelage est officialisé le 2 octobre 1965. L’association des amis d’Amberg est créée en 1993 pour donner lieu jusqu’à aujourd’hui à de nombreux échanges entre étudiants, comme celui qui a lieu chaque année encore, entre le collège Clos-Chassaing et l’Erasmus Gymnasium.

En 1964, le 5e régiment de chasseurs à cheval s’installe dans le quartier Daumesnil. Rattaché à la 15e division d’infanterie en 1977, il intervient au Liban entre 1986 et 1993 et en Yougoslavie de 1992 à 1994, année où il est dissous et quitte donc Périgueux.

Pendant les années 1950 à 1970, le faubourg des Barris se développe sur la rive gauche de l’Isle. Le pont du même nom relie le faubourg et la ville.

À la suite de l’évacuation de 1939 des 80 000 Alsaciens en Dordogne et principalement à Périgueux pour les Strasbourgeois, 20 % restent en Périgord. De ce fait, des relations naissent ; Périgueux et Strasbourg concluent un accord de coopération en 2008, après délibération par le conseil municipal de Périgueux. Située dans le parc, en face du lycée Bertran-de-Born, une stèle marque la reconnaissance de Strasbourg à Périgueux pour l’accueil des réfugiés pendant la Seconde Guerre mondiale.

Voir aussi cette vidéo :

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Sources : Wikipédia, YouTube.

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