Ville de Nancy (Meurthe-et-Moselle).

Nancy est une commune française située en Lorraine au bord de la Meurthe à quelques kilomètres en amont de son point de confluence avec la Moselle, un affluent du Rhin, à 281 km à l’est de Paris et 116 km à l’ouest de Strasbourg. C’est la préfecture du département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est. Ses habitants sont appelés les Nancéiens.

Capitale du duché de Lorraine jusqu’au rattachement de celui-ci au Royaume de France en 1766, évêché depuis 1777, Nancy est le chef-lieu du département de la Meurthe de 1790 à 1871 puis de Meurthe-et-Moselle à partir de 1871. Elle est aussi célèbre pour sa place Stanislas, du nom du dernier duc de Lorraine, qui fait partie d’un ensemble du XVIIIe siècle classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. Elle compte également de nombreux édifices classés aux monuments historiques et elle est l’un des foyers européens de l’Art nouveau grâce à l’École de Nancy.

La population intra-muros s’élève au 1er janvier 2013 à 104 072 habitants, ce qui fait de Nancy la deuxième commune la plus peuplée de Lorraine après Metz. Avec 435 356 habitants en 2016, l’aire urbaine de Nancy est la plus peuplée de Lorraine, la deuxième du Grand Est après celle de Strasbourg et la vingtième de France. Nancy est aussi l’une des principales villes universitaires et l’agglomération abrite l’un des principaux pôles de santé en France.


Bien que de nombreux sites préhistoriques (sites néolithiques dans la côte de Boudonville, les carrières de Monbois, à Vandœuvre-lès-Nancy et Villers-lès-Nancy) aient été découverts sur les plateaux entourant la ville, comme la Cité d’Affrique (Ve siècle av. J.-C.) au sud-ouest et des habitats celtiques des Leuques sur la butte Sainte-Geneviève, le site historique de la ville ne semble pas avoir été vraiment occupé avant l’époque mérovingienne, vers la fin du VIIe siècle. On mentionne l’existence d’un gué sur la Meurthe au VIIIe siècle.

La naissance de Nancy est liée à l’édification d’un château féodal, au cours du XIe siècle, par Gérard d’Alsace qui y fonde une petite cité qui deviendra la capitale du duché de Lorraine sous ses successeurs au XIVe siècle. En 1218, au cours de la Guerre de Succession de Champagne, sous le règne du duc Thiébaud Ier, la ville est totalement incendiée par l’empereur Frédéric II de Hohenstaufen. Elle sera reconstruite, agrandie et protégée par un nouveau château.

René prend la ville de Nancy. Les Bourguignons la restituent (7 octobre 1476).
C’est lors de la bataille de Nancy, qui fut précédée par un siège, que Charles le Téméraire, duc de Bourgogne, meurt en janvier 1477 face au duc René II à l’étang Saint-Jean. René II est également considéré comme le premier duc bâtisseur : il fait reconstruire le palais ducal et fait ériger à côté l’église des Cordeliers ainsi qu’un lieu de culte à Notre-Dame-de-Bonsecours (notons également la construction d’une basilique gothique flamboyante à Saint-Nicolas-de-Port, d’où le duc est parti pour entamer la reconquête de sa capitale).

Sous le règne du duc Charles III (1545-1608), la ville bénéficie de nombreuses extensions matérialisées par la naissance de la ville-neuve créée par Hieronimo Citoni en 1596.

À la mort d’Henri II le 31 juillet 1624, sa fille Nicole de Lorraine devait être héritière du duché de Lorraine. Mais, en raison de la découverte d’un testament de René II de Lorraine précisant que les femmes n’ont pas droit à la succession, son mari Charles de Vaudémont revendique la couronne pour son père, François de Vaudémont. Les députés acceptent, instaurant ainsi la loi salique. François II abdique fin novembre 1625 et Charles IV devient ainsi duc de Lorraine. Charles IV témoigne à de nombreuses reprises de sa préférence envers le Saint-Empire romain germanique par rapport à la France : réception de Marie de Rohan, exilée par Richelieu à la suite de sa compromission dans le complot de Chalais entre 1626 et 1628 et de Gaston d’Orléans, frère de Louis XIII et en révolte contre Richelieu ; mariage de celui-ci avec Marguerite de Lorraine, sœur de Charles IV ; soutien militaire de l’Empire en Franconie contre la Suède ; enfin, en violation avec le traité de Vic et celui de Liverdun, aide à l’empereur Ferdinand II pour libérer Haguenau des Suédois. Le roi de France, sur le conseil de Richelieu, décide alors d’assiéger Nancy.

Nancy, exposition philatélique de 1932, daguin.

En septembre 1633 commence le siège de Nancy : Louis XIII ordonne de brûler les moulins, occuper les châteaux, couper les ponts et construire retranchements et forts en mobilisant six mille soldats et dix mille paysans de Lorraine et de Champagne. Malgré la résistance, menée notamment par Henriette de Lorraine, sœur du duc de Lorraine restée à Nancy, Henri de Mouy, gouverneur de la cité, Nancy n’a pas d’autre choix que de capituler et Nicolas-François de Lorraine se charge des négociations. Le traité de Charmes, signé le 20 septembre, prévoit notamment le désarmement des troupes du duc de Lorraine et l’occupation d’une grande partie de la ville, de ses points-clés et de ses alentours par les troupes françaises. De nombreux membres de la maison de Lorraine fuient à Bruxelles ou en Italie et Charles IV, dans l’espoir d’une alliance avec l’Empire lui permettra plus tard de récupérer la Lorraine.

En 1661, dix compagnies du régiment des Gardes françaises se rendent à Nancy pour contribuer à la démolition des fortifications de la ville.

Léopold Ier souhaite redonner à Nancy la grandeur qu’elle avait au temps de Charles III ; son projet ne prend vraiment forme qu’après 1714 et la fin de l’occupation française. Il commence par prendre, un an après le début de son règne, une ordonnance libérale permettant à quiconque d’exercer le métier de son choix, même s’il n’a pas fait d’apprentissage ou de chef-d’œuvre : ceci dans le but d’attirer des artisans étrangers et de fournir du travail à la population touchée par la pauvreté. Cette politique, efficace, permet l’installation de manufactures : une de tissus dans l’ancien hôpital Saint-Charles; une autre rue Saint-Thiébaut; une de bas de laines à l’emplacement de l’asile des pestiférés qui employait les enfants indigents de la ville; deux manufactures de soie; et, surtout, un atelier de tapisserie, dirigé par Charles Mité et installé dans le palais ducal.

Stanislas Leszczyński, roi de Pologne et beau-père du roi de France par sa fille Marie Leszczynska, mariée à Louis XV en 1725, souverain écarté du trône de Pologne en 1709 puis en 1733, reçoit en viager le duché de Bar et le duché de Lorraine, que le duc légitime François III est contraint d’échanger contre la Toscane au traité de Vienne. S’il règne, il n’a que peu de pouvoir de décision : c’est l’intendant dépêché par le roi de France qui gère les affaires du duché, préparant l’intégration à la France. Stanislas s’applique à améliorer la qualité de vie de ses nouveaux sujets et à faire du duché un pôle culturel. Le duché, libéré de la pression militaire française, connaît alors une sorte d’apogée, en plein siècle des Lumières. Stanislas crée en l’honneur de son gendre une place Royale de belles proportions qui recevra plus tard son nom. À la mort de Stanislas en 1766, le duché revient à la couronne de France.

Nancy est le siège d’un évêché depuis 1778, diocèse créé aux dépens de celui de Toul (qui lui sera rattaché par Napoléon). La ville possède également une cour d’appel.

En août 1790, la ville connaît une révolte militaire réprimée sévèrement par les troupes du marquis de Bouillé : le régiment des hussards de Lauzun charge dans les rues de la ville. Cet événement, connu sous le nom « d’affaire de Nancy », est le principal épisode de la période révolutionnaire à Nancy.

Le 22 juillet 1792, alors que la Patrie est en danger, et les troupes ennemies à proximité, sous l’impulsion du maire Adrien Duquesnoy, les nancéiens s’engagent en masse dans les armées, dépassant le contingent requis.

En 1793, Pierre-Auguste Mauger, nommé commissaire du conseil exécutif par le ministre Garat, fédère les classes populaires de la ville contre la Municipalité, jugée trop “tiède”, Mauger est rapidement arrêté et envoyé au Tribunal Révolutionnaire par le conventionnel Faure mais une tradition populaire (se qualifiant de “sans-culotte”) se perpétue au delà du 9 thermidor an II.

Proche des frontières en guerre, Nancy est soumise à des réquisitions de fourrages, grains, et autres subsistances servant à alimenter les armées de la République, ajouté à cela des récoltes limitées par la météo, la ville est quasiment en état de famine mais fait front.

Au début du 19e siècle, l’ancienne capitale ducale est devenue simple chef-lieu provincial. Elle a perdu de sa superbe, et connaît un relatif assoupissement. Arrière-petit-fils du roi Stanislas, le comte d’Artois fait son entrée à Nancy le 19 mars 1814, sur le chemin qui le mène à Paris pour la Restauration de la monarchie.

Et surtout, en 1852, le baron Prosper Guerrier de Dumast obtient le rétablissement de l’Université de Nancy, qui avait été supprimée par la Révolution en 1793, rétablissement qui aura une importance décisive pour le développement de la ville et le maintien de son rang parmi les métropoles françaises.

En 1871, la ville reste française tandis que l’Alsace et la Moselle, avec Strasbourg et Metz, sont rattachées à l’Allemagne par le traité de Francfort. Nancy connaît alors une période de prospérité et un nouvel âge d’or culturel. En effet, de nombreux optants (Alsaciens et Mosellans refusant la nationalité allemande) choisissent de s’y installer, parmi lesquels un grand nombre d’intellectuels et d’industriels.

Nancy devient alors la principale ville de l’est de la France et sa population augmente de façon considérable passant de 50 000 habitants en 1870 à 120 000 habitants en 1914. Mais avec l’annexion, Nancy devient un symbole et sombre, peu à peu, dans une crise nationaliste à partir de 1889 qui voit arriver parmi les conseillers municipaux, sur les bancs de l’Assemblée, des élus antisémites. Ville de sidérurgie depuis les années 1880, Nancy se rêve aussi en ville charbonnière tout à la fin du XIXe siècle. Le projet, dû à l’impulsion de maîtres de forges (Cavallier, Lespinats, Saintignon, Villain), d’ingénieurs des Mines, de banquiers et d’hommes d’affaires locaux, restera cependant sans lendemain.

Nancy, place Stanislas, carte maximum 2/07/1949.

À cause de la poussée démographique des années 1870-1900, l’urbanisation à Nancy sera pour le moins anarchique. C’est une ville en pleine expansion qui verra la naissance, en 1894, de la Société des arts décoratifs lorrains, future École de Nancy, dont les chefs de file seront Émile Gallé, Antonin Daum, Louis Majorelle, Victor Prouvé ou encore Eugène Vallin. L’exposition de cette société, créée sur l’initiative de l’architecte Charles André, a le mérite de faire connaître, au côté d’Émile Gallé, d’autres artistes nancéiens. Parmi eux, l’ébéniste Eugène Vallin expose, dans la section consacrée à l’architecture, un plafond de salle à manger pour la demeure qu’il est sur le point de construire boulevard Lobau. C’est l’une des premières réalisations architecturales de l’art 1900 à Nancy.

À la suite du fort accroissement de la population, les besoins en eaux de la ville de Nancy augmentent considérablement. Édouard Imbeaux est chargé de la réalisation d’une galerie de captation des eaux souterraines du plateau de la Forêt de Haye. Abandonnées dès les années 1930, ces galeries développant environ 6,6 km ont été réhabilitées pour la pratique de la spéléologie par l’Union spéléologique de l’agglomération nancéienne (USAN) en 1991 et sont gérées par la Ligue spéléologique lorraine (LISPEL). Désormais appelées le spéléodrome de Nancy, elles servent de lieu de formation à la spéléologie et la plongée souterraine. Chaque année le site est ouvert au grand public par l’USAN à l’occasion des Journées européennes du patrimoine.

La ville se dote en 1874 du premier réseau de tramway nancéien, tout d’abord à traction hippomobile, puis, à compter de 1899, à traction électrique, concédé à la Compagnie générale française de tramways (CGFT) qui l’exploitera jusqu’en 1958.

L’Alliance provinciale des industries d’art, ou École de Nancy, dont le but est la renaissance et le développement des métiers d’art en Lorraine, va institutionnaliser ce mouvement en 1901. Les statuts de cette association, son but, et la composition de son comité directeur sont révélateurs des liens étroits existant entre les industriels, et les artistes locaux. L’exposition universelle de l’Est de la France de 1909, sera la dernière manifestation collective de l’École de Nancy. Eugène Vallin en construira le pavillon. Entre 1891 et 1911, sur 3 500 édifices construits, 250 sont influencés par l’Art Nouveau, et une cinquantaine d’édifices se démarquent.

Les commanditaires d’édifices de style Art nouveau sont des particuliers, des industriels ou des notables, souvent originaires des territoires annexés d’Alsace-Moselle. Les maîtres d’œuvre, architectes, ingénieurs, ou entrepreneurs, viennent d’horizons différents. La plupart des architectes, comme Lucien Weissenburger, Henry Gutton, ou Émile André, ont une formation classique : ils sont diplômés de l’École des beaux-arts de Paris ou sortent de l’atelier de Victor Laloux. Les ingénieurs, tels le polytechnicien Henri Gutton ou Frédéric Schertzer, ont une formation plus souple, ouverte aux innovations techniques. Enfin, nous trouvons l’ébéniste Eugène Vallin, le premier semble-t-il à traduire dans l’architecture, les principes de l’Art nouveau à Nancy.

Lors de la déclaration de guerre de Première Guerre mondiale, le 4 août 1914, la ville de Nancy est proclamée en état de siège, ce qui perturbe la vie quotidienne64. Des flux de réfugiés arrivent à partir du 20 août. La panique gagne la ville et ne se calme qu’à la fin de la bataille du Grand Couronné. Fin 1914, la moitié des habitants a quitté la ville, qui accueille sept mille réfugiés, dont plus de la moitié à la caserne Molitor. Le 1er janvier 1916, les Allemands commencent à bombarder Nancy afin d’en terroriser les habitants66. La carte de pain est établie fin 1917 et la ville est évacuée début 191866. Nancy fait partie des 69 communes françaises décorées de la Légion d’honneur (Ville dont l’ardent patriotisme s’est affirmé magnifiquement au cours des épreuves de la guerre. Directement menacée, a assisté avec le plus beau courage à la bataille du Grand Couronné, livrée pour la défendre, bombardée par avions, prise par canons à longue portée, n’a jamais, malgré les souffrances, perdu son sang-froid. A bien mérité du pays.).

Bataille de Nancy, carte maximum, 25/06/1977.

L’armée allemande entre à Nancy sans combattre le 16 juin 1940.Camille Schmitt, alors maire, reste sur place et tente de faire la liaison avec le gouvernement de Vichy, mais, Nancy se trouvant en zone interdite, la communication est très difficile. L’Est républicain et L’Éclair de l’Est ne paraissent pas ; les locaux de L’Est Républicain servent à la parution de L’Écho de Nancy. Lors de l’instauration du Service du travail obligatoire, une partie de la jeunesse va travailler en Allemagne tandis qu’une autre entre dans la clandestinité : 300 d’entre eux sont raflés par la Gestapo et envoyés à Mauthausen où les trois-quarts meurent.

La communauté juive de Nancy, composée de 3 800 membres et environ 160 entreprises en partie venues de l’immigration de Pologne et d’Europe centrale, subit discriminations, port de l’étoile jaune et, à partir de 1942, arrestations, transferts au camp d’Écrouves puis déportations. Parmi eux, Gustave Nordon (1877-1944, fondateur de l’entreprise Nordon frères) et le grand rabbin Hagenhauer. Toutefois, en juillet 1942, des policiers nancéiens ont permis à plus de 350 Juifs de fuir en leur fournissant tickets et laisser-passer, de sorte que seuls 32 sur les 385 menacés par l’opération Vent printanier sont arrêtés lors de la rafle manquée.

Le 26 mai 1944, le maréchal Pétain en visite à Nancy est accueilli par une foule qui chante Maréchal nous voilà. Pétain dans son discours : Acceptez les épreuves qu’on nous envoie ; ces épreuves seront terribles, mais elles le seront d’autant moins terribles que vous n’y prendrez pas part. Ayez confiance dans l’avenir de la France.

Nanacy, prêt-à-poster.

Nancy, occupée, est une ville de garnison, siège du quartier général de la 1. Fallschirm-Armee de juillet à septembre 1944.

La libération de Nancy de l’occupation allemande est menée par la troisième armée américaine du général Patton pendant la campagne de Lorraine en septembre 1944. Les troupes alliées arrivent par l’actuelle avenue de la Libération. La Gestapo est installée au carrefour de la rue de Boudonville et du boulevard Albert-Ier ; on peut lire une plaque en commémoration des nombreuses victimes de ce service devant le bâtiment.

Le 25 septembre 1944, le général de Gaulle est accueilli à Nancy, place Stanislas, par une foule dense.

Le 15 janvier 1972, une violente mutinerie à la prison Charles-III à Nancy fait découvrir au grand public la réalité de la prison (mauvaise hygiène, sévices et brimades).

Des années 1960 aux années 1980, la ville de Nancy procède à des rénovations urbaines importantes et parfois décriées :

Le quartier Saint-Sébastien, érigé sur d’anciens taudis, composé de plusieurs tours d’environ 15 à 20 étages et du vaste centre commercial Saint Sébastien.
La construction en 1975 de la tour Thiers qui culmine à plus de 100 mètres de hauteur, dans le quartier gare. Cette tour fut l’objet de vives critiques parce qu’elle jouxte des immeubles datant de l’époque Art nouveau et qu’elle bouche la perspective vers l’ouest depuis la place Stanislas.
Les quartiers Croix-de-Bourgogne et Saint-Léon à l’ouest de la gare sont les dernières opérations d’urbanisme de grande ampleur qui ont lieu dans l’hypercentre de la ville.

Depuis le milieu des années 1990, le Grand Nancy s’est engagé dans une vaste et progressive réhabilitation des rives de Meurthe dans l’est de la ville. Près de 400 hectares sont concernés dans l’un des plus grands chantiers qu’a connu Nancy, les objectifs sont multiples, exploiter le peu de place encore disponible sur le territoire de la ville, étendre le centre-ville et reconquérir les berges de la Meurthe jusqu’ici mise à l’écart de Nancy.

Le quartier de la gare est également engagé depuis 2005 dans une opération d’urbanisme dont le but est d’embellir ce quartier, y construire des immeubles de bureaux ainsi qu’un nouveau palais des congrès incluant partiellement l’ancien centre de tri postal, labellisé « Patrimoine du XXe siècle », les colonnes de courrier, une des trois tours et les galeries côté voies ferrées seront néanmoins démolies. Ce nouveau quartier de la ville s’étendra de la gare jusqu’à l’emprise de l’ancienne prison Charles III démolie à la suite de la construction d’un nouveau centre de détention dans le quartier du Haut-du-Lièvre.

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Sources : Wikipédia,  YouTube.

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