La murène.

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La murène commune, ou murène brune, Muraena helena, est un prédateur marin vivant en mer Méditerranée et sur la façade Est de l’océan Atlantique.

Elle fait partie des animaux marins les plus redoutés, principalement à cause des morsures qu’elle peut infliger. Son mode de déplacement fantomatique, son aspect serpentiforme et sa dentition saillante font d’elle un animal mystique, tantôt craint, tantôt adulé. À différentes reprises, elle fut représentée comme animal maléfique dans le folklore et les cultures traditionnelles.

Déjà, les Romains de l’époque antique semblent lui témoigner une grande admiration. À cette époque, des parcs marins furent érigés en mer pour élever et nourrir des spécimens. Certains notables auraient réussi à apprivoiser des individus qui venaient se nourrir dans la main. Des sacrifices d’esclaves, jetés en pâture à des murènes affamées, pourraient avoir eu lieu. Cependant, ces histoires semblent plutôt tenir de la légende.

Désormais elle est généralement représentée comme sournoise et agressive, à l’image de Flotsam et Jetsam dans la petite sirène. Cette réputation est largement surfaite. La murène est un animal timide et discret qui évite les contacts avec les humains. Elle se réfugie la plupart du temps dans les rochers. Elle n’attaque que quand elle se sent en danger.

Mureana signifie murène en latin. Ces dernières, cousines des congres, sont caractérisées par un corps allongé, légèrement comprimé latéralement. La peau, sans écailles, est lisse et recouverte d’un mucus. La tête, plus petite que le corps, présente généralement une large gueule munie de dents tranchantes.

Les nageoires pelviennes et ventrale sont absentes et les nageoires dorsale et caudale sont fusionnées en une longue bande allant de la tête à la queue.

Bien qu’ayant une mauvaise réputation, les murènes ne sont en réalité agressives que lorsqu’elle ressent une menace. Il n’est pas rare de voire des plongeurs, fréquentant régulièrement les mêmes sites de plongée, manipuler des murènes habituées à la présence humaine.

La murène commune, ou murène brune, Muraena helena, est un prédateur marin vivant en mer Méditerranée et sur la façade Est de l’océan Atlantique.

Elle fait partie des animaux marins les plus redoutés, principalement à cause des morsures qu’elle peut infliger. Son mode de déplacement fantomatique, son aspect serpentiforme et sa dentition saillante font d’elle un animal mystique, tantôt craint, tantôt adulé. À différentes reprises, elle fut représentée comme animal maléfique dans le folklore et les cultures traditionnelles.

Déjà, les Romains de l’époque antique semblent lui témoigner une grande admiration. À cette époque, des parcs marins furent érigés en mer pour élever et nourrir des spécimens. Certains notables auraient réussi à apprivoiser des individus qui venaient se nourrir dans la main. Des sacrifices d’esclaves, jetés en pâture à des murènes affamées, pourraient avoir eu lieu. Cependant, ces histoires semblent plutôt tenir de la légende.

Désormais elle est généralement représentée comme sournoise et agressive, à l’image de Flotsam et Jetsam dans la petite sirène. Cette réputation est largement surfaite. La murène est un animal timide et discret qui évite les contacts avec les humains. Elle se réfugie la plupart du temps dans les rochers. Elle n’attaque que quand elle se sent en danger.

Mureana signifie murène en latin. Ces dernières, cousines des congres, sont caractérisées par un corps allongé, légèrement comprimé latéralement. La peau, sans écailles, est lisse et recouverte d’un mucus. La tête, plus petite que le corps, présente généralement une large gueule munie de dents tranchantes.

Les nageoires pelviennes et ventrale sont absentes et les nageoires dorsale et caudale sont fusionnées en une longue bande allant de la tête à la queue.

Bien qu’ayant une mauvaise réputation, les murènes ne sont en réalité agressives que lorsqu’elle ressent une menace. Il n’est pas rare de voire des plongeurs, fréquentant régulièrement les mêmes sites de plongée, manipuler des murènes habituées à la présence humaine.

Le corps est serpentiforme, comprimé latéralement. Il est majoritairement marron moucheté de petites tâches dorées.

Les adultes sont plus trapus que les juvéniles et souvent plus foncés et moins colorés. La tête, plus petite que le corps, porte une large et longue bouche allant jusqu’en arrière des yeux. Cette dernière peut s’ouvrir à plus de 90°. Les dents sont crochues, la morsure est venimeuse.

La murène commune est connue pour être un prédateur nocturne se nourrissant principalement de poissons, de céphalopodes et de crustacés. Durant la journée, elle se cache en se lovant dans des cavités rocheuses et les anfractuosités. Elle n’hésite pas à se défendre voire attaquer les intrus qui chercheraient à la déloger. C’est un poisson sédentaire qui peut rester des mois sur un même territoire.

Au crépuscule, alors que la faim se fait sentir, elle quitte pour une courte durée sa cachette pour aller chasser dans un proche périmètre. Elle a déjà été observée en chasse synchronisée avec d’autres carnassiers, en particuliers le mérou. Dans cette configuration, la murène file entre les rochers pendant que le mérou reste sur l’extérieur, poussant les proies potentielles à sortir de leurs cachettes.

La murène commune est une mauvaise nageuse en raison de la forme de son corps non hydrodynamique. Elle voit mal mais possède un odorat très développé, atout indispensable à son activité de prédation nocturne.

Source : Fishpédia.

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