Jeanne-Antoinette Poisson, marquise de Pompadour.

Jeanne-Antoinette Poisson, marquise de Pompadour, duchesse de Menars, naît le 29 décembre 1721 à Paris et meurt le 15 avril 1764 à Versailles. Introduite à la cour par relations, elle est remarquée par le roi Louis XV et devient sa maîtresse-en-titre, de 1745 à 1751. Elle est également la conseillère du monarque et reste influente comme favorite jusqu’à son décès.

Louis XV lui fait construire le Petit Trianon comme résidence et lui offre le domaine de Pompadour, ce qui lui permet de devenir marquise et d’acquérir la noblesse. Ses origines, bourgeoises, lui attirent aisément des critiques de la part de l’aristocratie.

À partir des années 1750, la marquise n’est plus la maîtresse du roi mais conserve un ascendant en tant que confidente et amie du souverain. En ce sens, elle encourage l’aménagement de la place Louis XV — actuelle place de la Concorde — ou la création de la manufacture de porcelaine de Sèvres. Mme de Pompadour apprécie particulièrement l’architecture et les arts décoratifs. Elle acquiert d’ailleurs en 1753 le palais d’Évreux, aujourd’hui nommé palais de l’Élysée. La marquise s’intéresse aussi aux écrits et encourage la publication des deux premiers tomes de l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert.

Ayant une santé fragile, elle meurt d’une congestion pulmonaire à l’âge de 42 ans.


La future marquise de Pompadour voit le jour à Paris : « Du mercredi 30 décembre 1721, fut baptisée Jeanne-Antoinette Poisson, née d’hier, fille de François Poisson, écuyer de Son Altesse royale Monseigneur le duc d’Orléans, et de Louise-Madeleine de La Motte, son épouse, demeurant rue de Cléry… »2. Le baptême est célébré à l’église Saint-Eustache. Jeanne-Antoinette doit ses prénoms à son parrain, Jean Pâris de Monmartel, et à la nièce de ce dernier, Antoinette Justine Pâris, sa marraine. François Poisson, fils de tisserands à Provenchères près de Montigny-le-Roi, s’est marié trois ans plus tôt, le 11 octobre 1718 à Saint-Louis des Invalides, avec Madeleine de La Motte qui appartient à une famille plus élevée. De cette union sont nés deux autres enfants : Françoise Louise Poisson, rue Thévenot le 15 mai 1724 et baptisée à l’église Saint-Sauveur, ainsi qu’Abel-François, le 18 février 1727 en la paroisse de Saint-Jean-en-Grève à Paris.

Son père, François Poisson, a débuté comme conducteur dans le service des vivres. Remarqué par les frères Pâris, des financiers liés à la famille de La Motte, il a rendu de grands services en Provence, au moment de la peste. Mais, chargé comme commissaire aux vivres du ravitaillement de Paris pendant la disette de 1725, il est accusé de trafics et ventes frauduleuses. François Poisson est contraint de quitter le pays, et s’exile en Allemagne. Le 23 avril 1727, une commission du Conseil le déclare débiteur pour la somme de 232 430 livres. Le 12 août de la même année, une sentence du Châtelet de Paris décide la séparation de biens avec son épouse, mais leur maison rue Saint-Marc est saisie. Avant son départ, François Poisson confie sa fille Jeanne-Antoinette au couvent des Ursulines à Poissy en 1727. Ce couvent est connu pour l’éducation des jeunes filles issues notamment de la bourgeoisie. La santé de Jeanne-Antoinette est fragile. Mais elle souffre aussi moralement d’une double absence : celle de son père exilé, et celle de sa mère qui mène une vie pour le moins mouvementée. En janvier 1730, Madame Poisson reprend sa fille à Paris, rue Neuve des Bons-Enfants. Jeanne-Antoinette reçoit alors une éducation soignée et l’enseignement des arts d’agrément, tels que le dessin, la musique, la peinture, la gravure, la danse, les cours de chant donnés par Pierre de Jélyotte mais aussi de déclamation par Jean-Baptiste de La Noue. Dans ce cadre, elle découvre le salon littéraire de Madame de Tencin, une amie de sa mère, qui deviendra la marraine de sa fille, puis se lie d’amitié avec la jeune voisine de celle-ci, Marie-Thérèse de La Ferté-Imbault. C’est dans ce cercle que la jeune fille va apprendre l’art de la conversation et les valeurs de l’esprit.

Marquise de Pompadour, carte maximum, Arnac-Pompadour, 4/07/2014.

Pendant l’éloignement de François Poisson, sa femme Madeleine de La Motte, « belle à miracle », a entre autres amants le riche fermier général Charles François Paul Le Normant de Tournehem, célibataire et amateur d’art. L’infidélité notoire de Madeleine a fait naître l’hypothèse d’une liaison plus précoce avec Jean Pâris de Monmartel ou Le Normant, d’où la suspicion que Jeanne-Antoinette soit leur fille naturelle.

Une légende raconte qu’à neuf ans, elle est allée consulter avec sa mère une voyante qui se serait exclamée : « Vous serez la maîtresse du roi ». Toujours est-il que lorsque le testament de la future marquise a été ouvert, on découvre qu’une dame Lebon, voyante parisienne, s’est vu allouer une pension de 600 livres par an.

Le Normant, après avoir veillé à l’éducation des deux enfants de sa maîtresse, Jeanne-Antoinette et Abel-François, dont il était le tuteur légal, fait épouser à la première dès qu’elle eut vingt ans, le 9 mars 1741 à Saint-Eustache, son neveu et héritier Charles-Guillaume Le Normant d’Étiolles, âgé de vingt-quatre ans.

Le couple a un fils, Charles Guillaume Louis, né le 26 décembre 1741, baptisé à l’ancienne paroisse Saint-Paul mais qui meurt dans sa première année. Le 10 août 1744 naît une fille, appelée Alexandrine, du prénom de sa marraine Mme de Tencin. Elle fut baptisée à Saint-Eustache.

Le lieutenant des Chasses de Versailles considère Jeanne-Antoinette Le Normant d’Étiolles comme assez belle, « d’une taille au-dessus de l’ordinaire, svelte, aisée, souple, élégante ; son visage était d’un ovale parfait, ses cheveux plutôt châtain clair que blonds. Ses yeux avaient un charme particulier, qu’ils devaient peut-être à l’incertitude de leur couleur. Elle avait le nez parfaitement bien formé, la bouche charmante, les dents très belles, un sourire délicieux, la plus belle peau du monde ».

La beauté de Jeanne-Antoinette et son esprit la font connaître et elle devient l’hôtesse des salons cultivés et mondains de Paris. Madame de Tencin la présente à Madame Geoffrin et à sa fille la marquise de La Ferté-Imbault. Elle donne des représentations intimes dans le petit théâtre qu’elle a fait construire dans son château d’Étiolles, à côté de Sénart où le couple s’installe. Cette propriété se situe dans la forêt royale et le roi vient fréquemment chasser aux abords. Madame d’Étiolles a le droit statutairement d’assister à ces chasses en phaéton (calèche) et se fait accompagner par un des lieutenants de la vénerie royale qui l’informent précisément sur les passages du roi pour qu’elle puisse attirer son attention. C’est au cours de l’une d’elles, durant l’été 1743, que Louis XV l’a remarquée.

Le peintre Charles-Nicolas Cochin immortalise la rencontre entre le roi Louis XV, dissimulé sous un if, et Mme d’Étiolles en Diane chasseresse, au cours du célèbre bal masqué, donné en l’honneur du mariage du dauphin,
Louis de France. Proche du père de Jeanne-Antoinette, Joseph Pâris avait été exilé de 1726 à 1729 sous le gouvernement du cardinal de Fleury. La mort de celui-ci, en janvier 1743, donne l’occasion aux frères Pâris, au cardinal de Tencin, à sa sœur la madame de Tencin et au maréchal de Richelieu de rentrer en grâce. Ce cercle dispose d’une occasion pour se placer auprès de Louis XV. La jeune Jeanne-Antoinette, qui est très proche des Pâris, paraît susceptible de plaire au roi. Le stratagème mis en place fonctionne et porte ses fruits en 1745.

Le 23 février 1745 est célébré le mariage religieux du fils du roi, le dauphin Louis, avec l’infante Marie-Thérèse d’Espagne. Des fêtes sont organisées pendant huit jours pour cet événement. Le 25 février a lieu dans la Galerie des Glaces au château de Versailles, un bal masqué où est invitée Jeanne-Antoinette, sous l’apparence de Diane chasseresse. Le roi et ses plus proches courtisans sont costumés en ifs et la cour observe que l’un d’entre eux s’entretient longuement avec cette belle inconnue. Les conversations se cristallisent autour de ce couple et l’on pense reconnaître le souverain. La scène est immortalisée par le peintre Charles-Nicolas Cochin et « ceux qui prononcent à mi-voix le nom de Mme d’Étiolles croient à un simple caprice ». Trois jours plus tard, le 28 février, au cours du bal offert à l’Hôtel de ville de Paris par le corps municipal, une nouvelle rencontre entre Madame d’Étiolles et Louis XV confirme l’intérêt que lui porte le roi.

Jeanne-Antoinette devient une visiteuse régulière et, le 10 septembre 1745, Louis XV l’installe au château de Versailles dans un appartement situé juste au-dessus du sien, relié par un escalier secret.

Le 24 juin 1745, le roi lui fait don du domaine de Pompadour, acquis le 15 juin par la Couronne auprès du prince de Conti, le roi relevant le titre tombé en déshérence faute d’héritier mâle, la créant ainsi marquise, tandis que Jeanne-Antoinette obtient de son mari une séparation légale. En effet, le Châtelet de Paris prononce le 15 juin 1745, un arrêt de séparation de corps et de biens. La présentation officielle de la nouvelle favorite à Versailles, le 15 septembre 1745, nécessite une princesse de sang. Pour cette cérémonie très protocolaire, la princesse de Conti accepte d’être la marraine de Jeanne-Antoinette, en échange de l’extinction de ses dettes. Elle a 23 ans. Pour l’initier aux « bonnes façons » de la Cour, on lui choisit deux maîtres de conduite, Charles-Antoine de Gontaut-Biron et l’abbé de Bernis. Elle cherche progressivement à conquérir les différents cercles du roi, mais reste haïe par la famille royale, le dauphin la surnommant « maman putain ». Les milieux dévots d’une part et les milieux aristocratiques conservateurs d’autre part concentrent leurs attaques sur la nouvelle maîtresse du roi, certes pécheresse mais surtout parvenue puisque issue de la haute bourgeoisie et non de l’antique noblesse comme l’étaient les précédentes favorites du roi. La veille de Noël, le 24 décembre 1745, meurt sa mère Louise Madeleine de la Motte à l’âge de quarante-six ans.

Le 21 mai 1746, Louis XV achète pour la somme de 750,000 livres à Louis-Alexandre Verjus, marquis de Crécy, son château pour l’offrir à Madame de Pompadour. Elle charge l’architecte Jean Cailleteau dit « Lassurance » et le paysagiste Jean-Charles Garnier d’Isle d’embellir son domaine en remaniant le château et en redessinant tout le village. Elle commande au peintre François Boucher des trumeaux peints illustrant les arts et les sciences et fait apposer la façade en trompe-l’œil du moulin de la Bellassière, ayant une vraie vision paysagère d’ensemble. Toujours en 1746, Louis XV donne aussi à la Marquise de Pompadour une parcelle d’environ 6 hectares dans le parc de Versailles, au lieu-dit “Les Quinconces”. Elle y fait construire en 1749 toujours par son architecte Lassurance une demeure pleine de charme, avec un jardin français, un jardin fruitier, un jardin botanique et des volières, qu’elle appelle son Ermitage. Situé chemin de Versailles à Marly (au 10 de la rue de l’Ermitage, sous sa dénomination à partir de 1835), ce domaine fleuri contenait une fameuse vasque de marbre rose ayant appartenu à Louis XIV.

Son influence politique croît au point qu’elle favorise le mariage hautement diplomatique entre Marie-Josèphe de Saxe et le dauphin Louis, fils de Louis XV, célébré le 9 février 1747. Son ascension sociale lui vaut d’être critiquée par des pamphlets injurieux, appelés « poissonnades ». Dans ce contexte, Madame de Pompadour obtient la disgrâce du ministre, le comte de Maurepas, accusé de rechercher avec si peu de zèle les auteurs de ces libelles, d’autant qu’elle le soupçonne de complicité. Sa famille a subi également les quolibets, tel que le grand-père maternel de Jeanne-Antoinette, Jean de la Motte, entrepreneur des provisions, surnommé le « boucher des Invalides », employé par ses ennemis pour rappeler que c’est la première fois qu’un roi de France prend pour favorite une femme du peuple.

En février 1748, la marquise acquiert le château de la Celle, à quelques kilomètres de Versailles, pour la somme de 260 000 livres. La reine et le Dauphin, appuyés par les milieux dévots, pressent le roi de faire cesser cette relation adultérine notoire et finissent par le faire céder après de nombreuses années de résistance. Cependant, bien qu’elle cesse de partager l’intimité du roi, sa carrière connaît une nouvelle promotion : elle obtient en 1749 le privilège royal de loger dans l’appartement du duc et de la duchesse de Penthièvre au rez-de-chaussée du corps central du château de Versailles alors que Mesdames les filles du roi le convoitent. La même année 1749, elle choisit comme médecin personnel le docteur François Quesnay, futur chef des physiocrates, qui obtient le titre de médecin consultant du roi et un logement à la cour (un « entresol » situé au premier étage) proche du rez-de-chaussée qu’habite Mme de Pompadour.

Après 1750, si les relations entre le roi et sa favorite prennent un tour platonique, voire simplement amical, Jeanne-Antoinette ne quitte pas la cour pour autant et reste dans l’entourage immédiat de la famille royale, alignant sa conduite sur celle qu’avait eue en son temps la marquise de Maintenon. Mme de Pompadour excelle en effet à distraire Louis XV, lui fait découvrir les arts, organise des fêtes, des représentations théâtrales, entretient le goût du souverain pour les bâtiments et les jardins, multiplie ses résidences hors de Versailles. Ce qui explique qu’après avoir été pendant cinq ans sa maîtresse, elle reste la favorite en titre. Forte de son pouvoir, elle obtient du roi de donner titres et faveurs à son frère, Abel-François Poisson, qui devient successivement marquis de Vandières, de Marigny et de Menars. Ce dernier est enfin nommé en 1751, directeur des Bâtiments du roi.

Jeanne-Antoinette ne contente plus la sensualité du roi et elle craint d’être supplantée par une dame de la cour. Ce rôle dont elle ne peut s’acquitter, Madame de Pompadour le délègue obscurément à des subordonnées. Il se trouve « dans l’entourage de Louis XV, des pourvoyeurs compétents », comme le duc de Richelieu ou Dominique-Guillaume Lebel, premier valet de chambre du roi. Des jeunes femmes ou jeunes filles, sont donc présentées au souverain et logées dans la maison du Parc-aux-cerfs, l’actuel quartier Saint-Louis, à Versailles. Les plus célèbres des maîtresses sont Charlotte Rosalie de Choiseul-Beaupré, Anne Couppier de Romans dont le fils, Louis Aimé, est reconnu par le roi sans le légitimer, ce qui fait trembler la marquise, et Marie-Louise O’Murphy de Boisfailly, dite Morphyse, qui donne naissance à une fille, Agathe Louise.

En 1753, elle achète l’hôtel d’Évreux (aujourd’hui, Palais de l’Élysée) et marque le lieu par ses choix en matière de décoration et d’ameublement.

Le 15 juin 1754, la fille unique de la marquise, prénommée Alexandrine en hommage à Mme de Tencin, meurt. Née de son mariage, elle en avait obtenu la garde et l’élevait depuis telle une princesse royale. Elle contracta une péritonite aiguë au couvent des Dames de l’Assomption, rue Saint-Honoré à Paris, où elle recevait son éducation. Madame de Pompadour, retenue à Versailles, n’est pas présente. Lorsque la nouvelle lui parvient, Louis XV dépêche en urgence deux de ses médecins personnels au chevet de l’enfant, mais ils arrivent trop tard. La jeune Alexandrine, âgée de neuf ans, a déjà succombé. La marquise, profondément affectée, ne se remettra jamais vraiment de ce drame. Quelques jours plus tard, le 25 juin 1754 meurt son père, François Poisson.

Le samedi 7 février 1756, le roi annonce la nomination de Madame de Pompadour, dame du palais de la Reine et la présentation a lieu le lendemain, après les vêpres. Le 30 juin 1760, la marquise de Pompadour fait l’acquisition, par acte passé devant Maîtres Alleaume et Delamanche, notaires à Paris, du château et du marquisat de Menars, de la terre de Nozieux et de toutes leurs dépendances, propriétés de Mesdames de Lastic et de Castellane. Le montant total de ce vaste domaine s’élève à 880 000 livres. En 1763, le roi érige le marquisat de Menars en duché, ce qui permet à Mme de Pompadour d’accéder au rang de duchesse.

Pendant son « règne » de vingt ans, elle maintient des rapports cordiaux avec la reine. Mme de Pompadour entretient aussi des relations avec les ministres qu’elle invite parfois dans ses appartements.

Elle appuie la carrière du cardinal de Bernis, du duc de Choiseul et soutient le renversement des alliances de la Prusse vers l’Autriche qui se concrétise par la guerre de Sept Ans et la perte de la Nouvelle-France. La légende veut que la marquise, pour consoler le roi très affecté par la déroute de Rossbach, l’aurait exhorté à ne pas s’affliger outre mesure, concluant par ces mots : « Il ne faut point s’affliger : vous tomberiez malade. Après nous, le déluge ! ».

Épuisée par vingt années de vie, de travail et d’intrigues à la cour, sa santé chancelle, elle contracte la tuberculose. À Versailles, elle se plaint constamment de l’air froid et humide de ses grands appartements, regrettant le petit appartement de l’attique nord, plus facile à chauffer, qu’elle a occupé les cinq premières années de son installation. Dans la nuit du 14 au 15 avril 1764, le curé de la Madeleine de la Ville-l’Evêque confesse la marquise et lui administre l’extrême onction. La croyant endormie, le prêtre fait le mouvement de se retirer et la Marquise de Pompadour murmure : « Encore un moment, monsieur le Curé, nous nous en irons ensemble ». Jeanne-Antoinette meurt d’une congestion pulmonaire, à l’âge de 42 ans, le 15 avril 1764 à Versailles, ultime privilège, puisqu’il est interdit à un courtisan de mourir dans le lieu où résident le roi et sa cour.

Madame de Pompadour est emmenée sur une civière à son Hôtel des Réservoirs, où elle est veillée deux jours et deux nuits dans sa chambre, transformée en chapelle ardente. Le mardi 17 avril 1764 en fin d’après-midi, le premier service funèbre se déroule à l’église Notre-Dame de Versailles. L’acte de décès est rédigé par Jean-François Allart, le curé de la paroisse.

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Sources : Wikipédia, YouTube.

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