Marianne Heske, artiste visuelle.

Marianne Heske (née le 21 février 1946 à Ålesund ) est une artiste visuelle norvégienne. Elle a vécu ses premières années à Tafjord où son père était directeur de la centrale électrique. Ses œuvres ont, entre autres, été exposées à la centrale électrique de Tafjord.

Heske a fait ses études à Bergen Kunsthåndverkskole 1967-1971, École Supérieure des Beaux-Arts à Paris 1971-1975, Royal College of Art à Londres 1975-1976 et Jan Van Eyck Academie à Maastricht 1976-79 . Depuis 1973, elle a eu des expositions personnelles dans son pays et à l’étranger, notamment à la Cité internationale des Arts à Paris, au Centre d’art Henie Onstad , à la Bergen Art Association et à la galerie F15 à Moss . En 1993, elle était exposante au festival de Bergen.

Elle a fait sa percée internationale avec les soi-disant peintures  informatiques. Ce sont des peintures basées sur des enregistrements vidéo de paysages. Les enregistrements sont ensuite numérisés ou transférés sur un ordinateur. D’immenses panoramas sont réalisés à partir de ce matériau.

Heske a participé à des expositions à travers le monde, comme à Paris, Londres, Bruxelles , Düsseldorf , Lisbonne , la Biennale de São Paulo au Brésil , et est considéré, entre autres, comme un pionnier de l’art conceptuel  L’œuvre “Gjerdeløa” (1980) a été nommée l’une des 12 œuvres d’art les plus importantes de Morgenbladet.

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Ville d’Egersund  (Norvège).

Egersund est une ville de Norvège ayant en 2014 une population de 11 406 habitants.


Egersund est une ville de la municipalité d’Eigersund dans le comté de  Rogaland, en Norvège. La ville est située le long de la côte sud-ouest de la Norvège, à environ 75 kilomètres au sud de la ville de Stavanger. La ville est située le long d’un détroit qui sépare le continent de l’île d’Eigerøya. De 1838 à 1964, la ville était également une municipalité indépendante.

Egersund possède l’un des meilleurs ports naturels de Norvège, et il était autrefois le plus grand port de Norvège en termes de quantité de poissons apportés chaque année (dépassé par Ålesund en 2006). Plusieurs sociétés de renommée internationale y ont des divisions, comme Navico (anciens pilotes automatiques Robertson) et Jeppesen Norway (producteur de cartes marines électroniques). De plus, la société Aker Solutions possède et exploite ici une grande installation spécialisée dans la construction de pièces pour plates-formes pétrolières. La majeure partie de l’industrie est liée à la mer et aux bateaux.

Source : Wikipédia.

Tarjei Vesaas, écrivain.

Tarjei Vesaas, né le 20 août 1897 à Vinje (comté du Telemark), et décédé le 15 mars 1970 à Oslo, est un écrivain norvégien de langue néo-norvégienne (nynorsk). Son œuvre, dominée par les thèmes existentiels du mal, de l’absurde, ainsi que par l’omniprésence de la nature, se caractérise par une forte dimension symbolique et onirique.


Ses parents possédaient la ferme de Vesås et Tarjei, l’aîné des trois fils, devait prendre la succession de son père sur l’exploitation familiale. Ses parents étaient des personnes relativement cultivées qui entretenaient l’intérêt de la lecture, souvent collective et à voix haute, lors des longues et sombres soirées d’hiver.

Tarjei entre par la suite dans la folkehøyskole de Voss, au cours des années 1917-1918, ce qui continue de développer chez lui son attrait pour la  littérature (ce type d’enseignement très prisé en Scandinavie pourrait être présenté comme une université populaire, une école pour adultes).

À son retour dans sa région natale, après son service militaire en 1919 dans la capitale où il découvre avec plaisir le théâtre, il se met à écrire de petits articles et poésies pour les journaux locaux. Il compose alors durant son temps libre un premier roman « épais et tragique », qui sera refusé par le plus grand éditeur en nynorsk. Cela l’affecte – il brûlera le manuscrit – mais, peu de temps après, il remporte le premier prix d’un concours de poésie, et on lui souhaite plus de chance pour le second roman, ce qui le pousse à continuer d’écrire. Le second manuscrit, également refusé, est un recueil de poésies en prose, et c’est à partir du quatrième essai, Menneskebonn, qu’il est édité, en automne 1923. Le roman qui suit lui donne accès à des bourses d’État pour voyager et travailler.

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