Le Pentathlon moderne.

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Le pentathlon moderne est une épreuve sportive constituée de cinq  disciplines d’où le nom de pentathlon. Ces épreuves sont l’escrime, la natation, l'équitation, le tir au pistolet et la course à pied. Il faut le distinguer du pentathlon antique : aucune des épreuves du pentathlon moderne ne faisait partie des premiers Jeux olympiques. Le pentathlon a toujours fait partie du programme olympique depuis 1912. Une épreuve par équipe a été ajoutée aux Jeux olympiques en 1952 et  interrompue en 1992. Une épreuve féminine a été ajoutée en 2000. Lors des années non olympiques, un championnat du monde a lieu, depuis 1949. À l'origine la compétition durait quatre ou cinq jours ; mais en 1996 l'épreuve a été raccourcie à une journée pour améliorer son image commerciale. En dépit de l'appartenance très forte de l'épreuve aux Jeux olympiques modernes et de son statut d'événement créé spécifiquement pour les Jeux olympiques, son manque de popularité hors de l'Europe de l’Est a conduit à des demandes de suppression des Jeux olympiques au cours des dernières années. Ce sport est régi par l'Union internationale de pentathlon moderne (UIPM). Le pentathlon sous sa forme moderne fut inventé par le baron Pierre de Coubertin, fondateur des Jeux olympiques modernes. Comme les épreuves du pentathlon antique…

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Le Haras national de Bábolna (Hongrie).

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Le haras de Bábolna, plus couramment appelé Bábolnapuszta ou  simplement Bábolna, est un haras national hongrois, à l’origine de la race du Shagya.


Ce haras, le second plus ancien de la Hongrie, est fondé en 1789 sous le Saint-Empire romain germanique, sur le territoire de l’actuelle Hongrie, par un décret de l’empereur Joseph II d’Autriche, et sur les conseils de son aide de camp József Csekonics. Celui-ci conseille à l’empereur d’acheter le domaine de Bábolnapuszta, alors propriété du comte Szapáry, et situé à 60 km à l’ouest de Budapest, pour y créer le haras militaire impérial. Ce lieu devint rapidement le centre d’élevage du cheval arabe dans l’empire, et est le lieu d’origine de la race Shagya.

Le haras importe en 1836 un étalon arabe du nom de Shagya, depuis la Syrie, grâce à une grande expédition d’Eduard Herbert. Dans les années 1920 et 1930, Bábolna est l’un des plus grands haras de chevaux arabes au monde.

En 1912, Sándor Jaross fonde le haras de Dióspuszta à proximité immédiate de Bábolna, dans l’objectif d’élever des chevaux de course. En 1962, cet élevage passe sous la gestion du haras national de Bábolna.

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János Gyetvai , journaliste et homme politique.

János Gyetvai ( Szentlőrinckáta, 8 avril 1889 – Budapest , 14 mai 1967 ) écrivain, journaliste, homme politique. Il a émigré après la République soviétique, d’ où il est rentré chez lui après la Seconde Guerre mondiale. Ancien maire des comtés de Pécs et Baranya, ambassadeur à Ankara.


Fils de János Gyetvai et Rozália Zombori, Il est issu d’une famille prolétaire agraire et est né en tant que douzième enfant. Il a terminé ses études à l’ Université de Budapest, où il a d’abord obtenu un diplôme en histoire hongroise, et en 1912, il a obtenu un doctorat en droit.

Dans les années 1910, en plus de ses études universitaires, il travaille comme assistant à l’ Office statistique. De 1912, il travaille pour Népszava jusqu’en 1919. À partir de 1914, il est le rédacteur fondateur du journal socialiste Jászberény. À partir de 1917, il est professeur temporaire à l’École supérieure de commerce de Budapest. Pendant la république des conseils, il devint chef de presse et devint membre du soi-disant Comité populaire de l’intérieur. de son collège senior (cinq). Il est rédacteur en chef du journal officiel de l’Armée rouge hongroise, Red Soldier.

Après la chute de la République soviétique, il émigre à Vienne, d’où il s’installe à Kassa en 1920, où il devient rédacteur en chef du Kassai Munkás. Peu de temps après, il s’installe à Pécs, où il devient rédacteur en chef du journal Munkás en 1920-21. Il retourna ensuite à Vienne, puis en 1922 il se rendit à Berlin , où il resta jusqu’en 1924. Ici, il est rédacteur en chef du journal Chronik des Faschismus et employé de l’agence de presse Deutsch-Russische Telegrafen Agentur. En 1924, il émigre aux États-Unis  d’Amérique , où il participe aux mouvements socialistes et communistes. Ici, il a édité les journaux Új Előre, Magyar Világ et Magyar Jövő.

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