Manuel de Ysasi, diplomate et réformateur du système postal.

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Manuel de Ysasi y Lacoste ( Cadix , 17 novembre 1810 – Cap Race, eaux de Terre-Neuve , 27 septembre 1854). Magasinier, diplomate et réformateur du système postal international.


Issu d’une famille aisée de Cadix d’ origine basque d’une maison noble de la vallée d’Ayala (Álava), fils du marchand indien et maire de Cadix Gregorio de Ysasi et de Juana de Dios Lacoste, de Jerez d’ origine béarnaise , il était l’ aîné de 22 frères et sœurs.

Issu d’une famille de vignerons de Jerez de la Frontera , propriétaire des caves Ysasi y Cía, successeurs de Lacoste y Cía avec une maison à Londres fondée en 1793, elle s’installe à la City de Londres en 1836 pour prendre en charge les affaires commerciales de la entreprise familiale Ysasi & Co. avec des bureaux au 5 Water Lane, Great Tower Street, engagée dans l’exportation de vins de Sherry.

Figure notable du commerce anglo-espagnol à Londres et proche collaborateur du général Espartero lors de son exil dans cette ville, il fut commissaire d’ Espagne pour la Grande Exposition tenue à Londres en 1851. Pour ses services, il reçut la Croix de Chevalier de l’ Ordre de Carlos III en 1851 et la reine Elizabeth II le nomma consul honoraire d’ Espagne à Londres en 1852.

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Cecilia Böhl de Faber y Larrea, femme de lettres.

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Cecilia Francisca Josefa Böhl de Faber, née à Morges le 24 décembre 1796 et morte à Séville le 7 avril 1877 (à 80 ans), connue sous le nom de plume de Fernán Caballero, est une femme de lettres espagnole. Cecilia Böhl de Faber y Larrea est la fille de l'hispaniste allemand Juan Nicolás Böhl de Faberet de Frasquita Larrea, espagnole ayant des origines irlandaises. Elle passe son enfance à Cadix, au sud de l'Espagne. Elle collabore épisodiquement à la revue culturelle Museo de las Familias (1843-1870). Jusqu’à son grand succès obtenu en 1865 avec La Pharisienne, elle publie régulièrement. Veuve de son premier mari avec qui elle avait déménagé à Porto Rico en 1816, elle retourne en Espagne et épouse son deuxième mari le marquis d’Arco Hermoso. Cecilia Böhl de Faber y Larrea meurt en 1877 à Séville. Source : Wikipédia.

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Jorge Manrique, poète.

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Jorge Manrique (Paredes de Nava, Palencia, 1440 ? – † Santa María del Campo Rus, Cuenca, 24 avril 1479) est un poète espagnol. Il est l’auteur des Stances sur la mort de son père (Coplas por la muerte de su padre), un des classiques de la littérature espagnole.


On sait peu de chose sur son enfance et son adolescence. Ce qui est certain c’est qu’il assuma pleinement la ligne politique et militaire de sa vaste famille castillane, la maison Manrique de Lara, il était partisan de la guerre contre les Maures et participa aux intrigues entourant la montée sur le trône des Rois catholiques, Ferdinand et Isabelle.

Son père, Rodrigo Manrique, comte de Paredes de Nava, était l’un des hommes les plus puissants de son époque. Il mourut d’un cancer qui le défigura en 1476. Sa mère mourut lorsqu’il était enfant. Son oncle, Gómez Manrique, était un poète et auteur dramatique éminent ; il ne manqua pas dans la famille de Jorge Manrique d’hommes de lettres et d’armes. La famille des Manrique de Lara était l’une des plus anciennes familles nobles de Castille et possédait certains des titres les plus prestigieux, tels que le duché de Nájera, le comté de Treviño et le marquisat d’Aguilar de Campo, ainsi que plusieurs titres ecclésiastiques.

Jorge Manrique fit ses humanités et suivit une instruction militaire propre aux militaires castillans. À 24 ans, il participa au siège du château de Montizón (Villamanrique, Ciudad Real) au cours duquel il gagne en prestige en tant que guerrier. Sa devise était « je ne mens ni ne me repens» (« ni miento ni m’arrepiento »). Il fut fait prisonnier durant quelque temps à Baza lors de l’assaut de la ville qui était aux mains des Benavides.

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