Maria Reiche, née le 15 mai 1903 à Dresde (Empire allemand) et morte le 8 juin 1998 à Lima (Pérou), est une archéologue allemande, qui consacra la majeure partie de sa vie à l’étude archéologique et à la préservation des géoglyphes nazcas du Pérou.
Sa théorie était que les géoglyphes avaient une fonction astronomique liée à l’agriculture.
Maria Reiche est née à Dresde le 15 mai 1903. Elle a étudié l’astronomie, les mathématiques, la géographie et les langues étrangères à l’université technique de Dresde. Elle était l’aînée des trois enfants du juge Felix Reiche-Grosse et de sa femme Elisabeth.
Elle perd son père durant la Première Guerre mondiale, et souhaite fuir les horreurs européennes. Elle ne s’entend pas avec sa mère, qui veut la voir mener une vie classique de femme au foyer germanique. Mais Maria est jeune et rêve d’aventure. Un premier voyage au Pérou la convainc : elle n’est pas faite pour l’Allemagne. Elle retourne dans les Andes en 1934, mais n’obtient que des menus boulots qui ne comblent pas sa curiosité intellectuelle. Elle change donc régulièrement de travail et, les années passant, elle atterrit au prestigieux musée National de Lima, où elle travaille comme traductrice dans le bureau du Dr. Julio Tello, le fondateur de l’archéologie péruvienne.
Datura est un genre de plantes de la famille des Solanacées, dont le centre de diversité se trouve au Mexique et dans le sud-ouest des États-Unis. Plusieurs espèces sont cultivées et se sont naturalisées dans les régions tempérées et tropicales du monde.
On connaît une dizaine d’espèces du genre Datura. Ce sont des plantes riches en alcaloïdes dans tous leurs organes, vénéneuses mais intéressantes sur le plan pharmacologique.
En 1753, Linné introduisit le genre Datura sur la base d’une description d’un arbuste d’Amérique du Sud, appelé antérieurement Stramonium arboreum. Depuis cette époque, la délimitation du genre n’a cessé de varier suivant la connaissance accumulée sur les espèces à port arbustif ou herbacé. Le problème est de savoir si les espèces arbustives doivent être classées à part dans le genre Brugmansia ou être incluses dans le genre Datura.
Dès 1805, le botaniste Christian H. Persoon pense qu’il faut exclure les espèces pérennes arbustives, jugement remis en cause en 1833 par J. J. Bernhardi qui estimait insuffisantes les différences entre les deux genres.
Mais en 1895, G. Lagerheim après quelques années de recherches sur le terrain en Équateur, traite les Brugmansia à nouveau comme un genre à part. Et encore une fois, un botaniste du nom de W.E. Safford jugea en 1921 qu’il fallait inclure les arbustes dans les Datura.
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