Antonio Maceo, militaire.

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Antonio Maceo y Grajales, né le 14 juin 1845 à San Luis, mort au combat le 7 décembre 1896 à Punta Brava, est un combattant et héros de la lutte pour l’indépendance de Cuba. Il participe à plus de 900 combats dans la guerre des Dix Ans (1868-1878) et la Guerre d’indépendance (1895-1898). Il a été surnommé le Titan de Bronze pour sa force et sa couleur de peau. Les Espagnols surnomment Maceo aussi « Le plus grand lion ». Maceo était l’un des plus remarquables chefs de la guérilla au XIXe siècle en Amérique Latine, comparable à José Antonio Páez au Venezuela pour sa perspicacité militaire.


Maceo était le fils d’un fermier vénézuélien et marchand de produits  agricoles, Marcos Maceo et une femme afro-cubaine, Mariana Grajales Cuello. Son père a déménagé de Caracas au Venezuela à Santiago de Cuba à Cuba en 1823, après que certains de ses compagnons soient exilés de l’Amérique du Sud. José Antonio Maceo y Grajales est né le 14 juin 1845, dans la ville de San Luis, dans la province d’Oriente à l’extérieur de Santiago de Cuba, dans une ferme connue des locaux sous le nom de Jobabo. Bien que son père lui ait enseigné le maniement des armes et la direction de leurs petites propriétés, c’était sa mère, Mariana Grajales, qui lui a inculqué le sens de l’ordre. Cette discipline maternelle aura une importance dans le développement de la personnalité de Maceo et se retrouvera plus tard dans ses actes en tant que chef militaire.

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Jorge Gallardo, peintre et écrivain.

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Jorge Gallardo Gómez ( San José , 12 décembre 1924 – 4 avril 2002 ) était un peintre et écrivain costaricain.


Grand maître de l’art costaricien , il a également apporté une contribution considérable en tant qu’écrivain. Sa formation est solide, comptant parmi ses professeurs nationaux le peintre Gonzalo Morales, professeur à l’École Académique d’Art Costaricien, et le professeur Daniel Vázquez Díaz à  l’

Ses œuvres font partie des collections d’art les plus importantes du gouvernement du Costa Rica ainsi que de nombreuses personnes,  nationales et étrangères. Son art est un mélange irrévérencieux dans lequel le dessin magistral fusionne avec l’utilisation d’une couleur impeccable, que beaucoup ont considérée comme plate et sans complexité. Cependant, il a utilisé tout ce qu’il avait appris sur le continent lointain et l’a intégré dans la vie quotidienne, donnant des éléments audacieux à sa vision du monde, non seulement en tant qu’indicateur d’une dure réalité de l’être costaricien le plus pauvre, mais aussi dans une perspective de que la religion était le message d’espoir pour tous les dépossédés.

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Le pécari à collier.

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Le pécari à collier (Pecari tajacu) est une espèce de mammifères, de la famille des Tayassuidae, présente en Amérique du Sud, en Amérique centrale, au Mexique et dans le sud des États-Unis (jusqu’au Texas et en Arizona). En France, sa présence à l’état sauvage se limite à la Guyane française. Les explorateurs français du XVIIIe siècle l’appelaient « Tajaçou » ou « Tajassou ». Il s’agit de l’espèce-type de cette famille.


Le pécari est un animal ressemblant au cochon, mais au pelage brun-gris. Cette espèce est appelée pécari à collier parce qu’elle a autour du cou des poils plus clairs qui évoquent un collier. Les poils de son menton sont souvent blancs. Il reste assez facilement reconnaissable par rapport au pécari à lèvres blanches avec qui il partage la même aire de répartition, qui lui possède un pelage noir sombre, un menton blanc clair et sans collier blanc.

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