Sadriddin Aini, écrivain.

  • Auteur/autrice de la publication :
  • Post category:Nos personnages célèbres
  • Commentaires de la publication :0 commentaire
  • Dernière modification de la publication :3 novembre 2021
  • Temps de lecture :2 min de lecture

Sadriddin Aini (également transcrit en français Sadriddine Aïni, tadjik : Садриддин Айнӣ, persan : صدردين عيني), né le 15 avril 1878 (27 avril 1878 dans le calendrier grégorien) à Soktouri et mort le 15 juillet 1954 à l’âge de 76 ans à Douchanbé, en République socialiste soviétique du Tadjikistan. C’est un intellectuel et écrivain soviétique du Tadjikistan. Il reçoit un prix Staline pour le livre Boukhara en 1950.


Sadriddin Aini naquit dans le petit village de Soktouri, à proximité de la ville de Gijduvon dans l’Émirat de Boukhara (actuel Ouzbékistan), alors sous protectorat de l’Empire russe1. Il commença son instruction à l’école du village à l’âge de 6 ans et, une fois orphelin, partit à 12 ans rejoindre son frère à Boukhara pour étudier à la madrasa Koukeldash1, où il apprit notamment l’écriture arabe.

(suite…)

Continuer la lectureSadriddin Aini, écrivain.

Qi Baishi, peintre.

  • Auteur/autrice de la publication :
  • Post category:Nos personnages célèbres
  • Commentaires de la publication :0 commentaire
  • Dernière modification de la publication :3 novembre 2021
  • Temps de lecture :9 min de lecture

Qi Baishi (1er janvier 1864 – 16 septembre 1957) était un peintre chinois, connu pour le style fantaisiste et souvent ludique de ses œuvres. Né dans une famille paysanne de Xiangtan, Hunan, Qi a appris à peindre par lui-même, suscité par le Manuel du jardin de graines de moutarde . Après avoir eu 40 ans, il a voyagé, visitant divers sites pittoresques en Chine. Après 1917, il s’installe à Pékin . Certaines des influences majeures de Qi incluent le premier peintre de la dynastie Qing Bada Shanren (八大山人) et l’ artiste de la dynastie Ming Xu Wei (徐渭).

Les sujets de ses peintures incluent presque tout, généralement des animaux, des paysages, des personnages, des jouets, des légumes, etc. Il a théorisé que « les peintures doivent être quelque chose entre la ressemblance et la dissemblance, un peu comme les vulgaires d’aujourd’hui, mais pas comme tromper les gens populaires ». Dans ses dernières années, beaucoup de ses œuvres représentent des souris, des crevettes ou des oiseaux. Il était également doué pour la sculpture de sceaux et s’appelait « l’homme riche aux trois cents sceaux de pierre » (三百石印富翁). En 1953, il est élu président de l’ Association des artistes chinois (中國美術家協會). Il est mort à Pékin en 1957.

(suite…)

Continuer la lectureQi Baishi, peintre.

Iakoub Kolas, écrivain.

  • Auteur/autrice de la publication :
  • Post category:Nos personnages célèbres
  • Commentaires de la publication :0 commentaire
  • Dernière modification de la publication :3 novembre 2021
  • Temps de lecture :3 min de lecture

Iakoub Kolas (en biélorusse : Яку́б Ко́лас), de son vrai nom Kanstantsine Mikhaïlavitch Mitskievitch (Канстанці́н Міха́йлавіч Міцке́віч), est un écrivain biélorusse né le 22 octobre 1882 (3 novembre 1882 dans le  calendrier grégorien) à Stowbtsy et mort le 13 août 1956 à Minsk.


Né dans la famille d’un garde forestier du nom de Mikhaïl Mitskievitch, Iakoub Kolas est scolarisé dans un séminaire de Niasvij dont il obtient le diplôme en 1902. Instituteur dans le raïon de Pinsk en 1902-1906, il fait ses débuts littéraires dans une revue biélorusse Nacha dolia, en publiant le poème Chère patrie (Край родимый). Il sera emprisonné pour avoir participé au premier congrès clandestin d’enseignants biélorusses organisé par le membre du Parti ouvrier social-démocrate de Russie Alès Senkevitch dans l’oblast de Mykolaïv en juillet 1906. Il purge sa peine dans la prison de Minsk en 1908-1911. Il travaille de nouveau comme instituteur en 1912-1914 à Pinsk. Là, naît son fils ainé Danila, qui deviendra plus tard le premier directeur du musée de son père.

(suite…)

Continuer la lectureIakoub Kolas, écrivain.