Hans Memling, peintre.

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Hans Memling ou Hans Memlinc est un peintre allemand de style flamand, né à Seligenstadt en électorat de Mayence vers 1435-1440, devenu citoyen de Bruges en 1465, où il meurt en 1494. Il est l’un des plus grands représentants de la peinture brugeoise du xve siècle, aux côtés de Jan van Eyck, de Petrus Christus et de Gérard David, et de l’école des peintres primitifs flamands.

Avant de s’installer à Bruges, Memling travaille dans l’atelier bruxellois de Rogier van der Weyden, et il n’ouvre son propre atelier qu’après la mort de Rogier van der Weyden en 1464. D’évidentes similitudes stylistiques étayent une relation étroite entre les deux artistes. Memling développe ensuite un style personnel, empreint de sérénité et de douceur, qui à son tour prend valeur d’exemple pour ses contemporains et notamment le Maître de la Légende de sainte Ursule.

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Raymond Aron, philosophe, sociologue, politologue, historien et journaliste.

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Raymond Claude Ferdinand Aron est issu d’une famille juive et d’un milieu aisé des deux côtés. Ses parents sont Gustave Émile Aron (1870-1935) et Suzanne Levy (1877-1940). Son grand-père maternel, Léon Levy, possédait une usine de textile dans le nord de la France. Sa famille paternelle venait de Lorraine où elle était établie depuis la fin du XVIIIe siècle. Son grand-père paternel, Isidore (dit Ferdinand) Aron, était grossiste en textile à Rambervillers puis Nancy (Lorraine). Un de ses grands-oncles paternels, Paul Aron, était le père de Max Aron, biologiste à Strasbourg. Ferdinand, le grand-père paternel de Raymond, prédit à celui-ci à sa naissance une grande carrière. Gustave Aron refusa de prendre la suite de l’affaire familiale et fit de brillantes études de droit ; il publia des travaux juridiques, mais n’étant reçu que deuxième à l’agrégation de droit alors qu’un seul poste était attribué, il abandonna la perspective d’enseigner à l’université et devint professeur de droit à l’École normale supérieure de l’enseignement technique. Il arrêta de travailler au début du xxe siècle, vivant dès lors de l’héritage familial, faisant construire une maison à Versailles en 1913-1915 avec un court de tennis. La famille Aron retourna ensuite à Paris. Après la guerre, Gustave Aron investit en bourse, mais sa fortune fut perdue du fait de la crise économique de 1929 et il fut obligé de reprendre un emploi. Il mourut en 1934 d’une crise cardiaque. La mère de Raymond quant à elle mourut en juin 1940 à Vannes.

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“Le chat” d’après Philippe Geluck.

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Le Chat est une série de dessins humoristiques de presse et de bandes dessinées créée par Philippe Geluck le 22 mars 1983 dans un supplément du journal belge Le Soir qui met en scène le héros éponyme dans de nombreux gags.


En 1983, Philippe Geluck, dessinateur de profession, est contacté par le journaliste Luc Honorez pour créer un héros qui devra compléter Le Soir de courts « strips » humoristiques. Et c’est le 22 mars 1983 que Le Chat fait sa première apparition dans le journal belge. Très vite, il devient la mascotte du journal. Philippe Geluck rappelle l’inspiration de son personnage : « Un jour, sur la couverture du carton de remerciements de mon mariage, j’ai dessiné une Madame Chat tout sourire, et à l’intérieur, on voyait Monsieur Chat qui était monté dessus ! C’est comme ça que tout a commencé ! Plus tard quand « Le Soir » m’a demandé d’inventer un personnage, je me suis souvenu du carton. La bestiole est devenue mon interprète, comme un acteur pour qui j’écris des sketches ! En fait, c’est un autre moi-même. À travers lui, je me libère. Je joue parfois avec le feu, mais c’est le rôle de l’humoriste ! ».

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