Pierre Dugua de Mons, premier colonisateur de la “Nouvelle France”.

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Pierre Dugua de Mons (aussi « Du Gua de Monts » ou « du Guast, sieur de Monts »), né vers 1560 au château de Mons, à Royan et mort en 1628 dans son château d’Ardennes à Fléac-sur-Seugne, près de Pons (Pons dont Pierre Dugua a été gouverneur de 1610 à 1618), est le premier colonisateur de la Nouvelle-France ayant eu pour lieutenant Samuel de Champlain.


En 1599, Pierre Du Gua de Mons vend à son voisin, François Videgrain, sieur de Belmont, presque toutes les terres qu’il possédait dans le marquisat de Royan et les environs. Il investira le tout dans des entreprises apparemment commerciales mais qui, en réalité, seront des entreprises de colonisation.

La même année, il se rend pour fonder le comptoir de Tadoussac (au Québec actuel) avec son ami Pierre Chauvin de Tonnetuit.

En 1603, Henri IV nomme Pierre Dugua son « lieutenant général en Amérique septentrionale », et lui accorde le monopole de la traite des fourrures, pour compenser les frais d’établissement d’une colonie à cet endroit.

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Le don d’organes.

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Le don d’organes est le prélèvement d’organes et de tissus (on parle dans ce cas de don de tissus) d’un corps humain (appelé donneur) pour traiter des patients (appelés receveurs) dont les organes essentiels sont gravement atteints. Le prélèvement chirurgical peut s’effectuer sur des personnes mortes en état de mort cérébrale (don d’organes post mortem) ou sur des personnes vivantes (don d’organe de son vivant). Il s’agit de la première étape avant la réalisation d’une transplantation chez un receveur.

Un grand nombre d’organes peuvent être donnés et permettre ainsi de sauver des vies humaines, ou en améliorer grandement la qualité. La majorité des greffes sont réalisées à partir d’organes prélevés sur des personnes mortes, en état de mort encéphalique.

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Le jardin des tuileries à Paris.

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Le jardin des Tuileries, parfois appelé jardins des Tuileries au pluriel, est un parc parisien du 1er arrondissement créé au XVIe siècle, à l’emplacement d’anciennes tuileries qui lui ont donné son nom.

Au XIIIe siècle, se trouvent ici des terrains vagues et des fabriques de tuiles. Au XIVe siècle, le prévôt de Paris Pierre des Essarts y possède un logis et quarante arpents de terre labourable. Puis au XVIe siècle, Neufville de Villeroy, secrétaire aux Finances, y fait bâtir un hôtel que François Ier achète pour sa mère, Louise de Savoie.

Catherine de Médicis rachète ces terrains situés entre l’enceinte de Charles V et l’enceinte des Fossés Jaunes3. À partir de 1564, elle y fait commencer la construction du palais des Tuileries, tout en débutant l’aménagement d’un jardin à l’italienne à l’ouest jusqu’au glacis de l’enceinte (actuelle place de la Concorde). Il est constitué de six allées dans le sens de la longueur et huit dans le sens de la largeur, qui délimitent des compartiments rectangulaires comprenant des plantations différentes (massifs d’arbres, quinconces, pelouses, parterres de fleurs, etc.). Une fontaine, une ménagerie et une grotte décorée par le célèbre céramiste Bernard Palissy décorent le jardin. Dans les années 1605-1625 sont ajoutées une orangerie et une magnanerie.

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