Paul Signac, peintre paysagiste.

  • Auteur/autrice de la publication :
  • Post category:Nos personnages célèbres
  • Commentaires de la publication :0 commentaire
  • Dernière modification de la publication :23 juillet 2020
  • Temps de lecture :10 min de lecture

Paul Signac, né à Paris le 11 novembre 1863, où il meurt le 15 août 1935, est un artiste peintre paysagiste français, proche du mouvement libertaire, qui donna naissance au pointillisme, avec le peintre Seurat. Il a aussi mis au point la technique du divisionnisme. Cofondateur avec Seurat de la Société des artistes indépendants dont il fut président, il est ami avec Victor Dupont, peintre fauve et vice-président du Salon.


Paul Signac naît à Paris en 1863 dans une famille prospère de marchands selliers installés à Asnières (aujourd’hui Asnières-sur-Seine). En 1879, âgé de 16 ans, il visite la quatrième exposition impressionniste où il remarque Caillebotte, Mary Cassatt, Degas, Monet et Pissarro ; il commence même à peindre, mais Gauguin le met à la porte de l’exposition avec ces mots : « On ne copie pas ici, monsieur. » En mars 1880, il perd son père. Esprit anticonformiste, Signac est adoré de sa mère qui veut faire de lui un architecte ; mais lui décide de quitter le lycée à la rentrée d’octobre 1880 pour se consacrer à une vie de peintre. Elle respecte ses choix. Il visite la cinquième exposition impressionniste, et admire Édouard Manet au Salon. La même année, il peint à Montmartre et loue un atelier. En 1882, il rencontre Berthe Roblès, une cousine éloignée de Pissarro. Il l’épousera dix ans plus tard.

(suite…)

Continuer la lecturePaul Signac, peintre paysagiste.

Ville de Tulle (Corrèze).

  • Auteur/autrice de la publication :
  • Post category:Sites et Monuments
  • Commentaires de la publication :0 commentaire
  • Dernière modification de la publication :23 juillet 2020
  • Temps de lecture :16 min de lecture

Tulle est une commune du Sud-Ouest de la France, préfecture du département de la Corrèze dans la région Nouvelle-Aquitaine. Les habitants de la ville sont appelés les Tullistes (ou Tullois).

Surnommée « la ville aux sept collines », la cité a construit sa renommée sur le développement de son industrie et de son artisanat : elle est devenue l’un des centres de fabrication de la dentelle (avec son festival international), des armes (Manufacture d’armes) et de l’accordéon (Accordéons Maugein).

(suite…)

Continuer la lectureVille de Tulle (Corrèze).

La basilique Notre-Dame de L’Épine (Marne).

  • Auteur/autrice de la publication :
  • Post category:Sites et Monuments
  • Commentaires de la publication :0 commentaire
  • Dernière modification de la publication :23 juillet 2020
  • Temps de lecture :3 min de lecture

La basilique Notre-Dame de L’Épine est située dans le petit village de L’Épine, dans la Marne, près de Châlons-en-Champagne, en direction de Verdun. C’est un chef-d’œuvre majeur du style gothique flamboyant.


Au début du XIIIe siècle est attestée l’existence d’une chapelle Notre-Dame de L’Épine. À partir de 1405, elle est connue comme but de pèlerinage important en Champagne et au-delà. Il en résulte, à partir de 1406, la construction de l’église actuelle, qui se poursuit jusqu’en 1527.

L’église Notre-Dame de L’Épine a été élevée au rang de basilique en 1914. Son nom lui vient de la dévotion portée à une statue représentant La Vierge portant l’Enfant-Jésus qui, d’après une légende connue au XVIIe siècle et qui a évolué ensuite, aurait été trouvée par des bergers au Moyen Âge dans un buisson d’épines enflammé.

La basilique aux dimensions de cathédrale est de style gothique. La façade, qui s’inspire très probablement de celle de la cathédrale de Toul2, comporte trois portails surmontés de deux flèches. Celle de droite mesure 55 mètres ; celle de gauche, arasée en 1798 pour permettre l’installation d’un télégraphe Chappe, a été reconstruite en 1868.

(suite…)

Continuer la lectureLa basilique Notre-Dame de L’Épine (Marne).