Les jeux olympiques d’hiver à Albertville (1992).

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Les Jeux olympiques d’hiver de 1992, officiellement connus comme les XVIes Jeux olympiques d’hiver, ont lieu à Albertville, dans le département de la Savoie, en France, du 8 au 23 février 1992. Les organisateurs désignent l’événement comme les Jeux d’Albertville et de la Savoie. Ce sont les derniers Jeux d’hiver à se dérouler la même année que ceux d’été, avec Barcelone. Pour l’organisation de ces Jeux d’hiver, sept villes sont en compétition et c’est lors du sixième tour que le dossier français remporte les suffrages du Comité international olympique (CIO). Les deux co-présidents du comité d’organisation des Jeux d’Albertville sont Jean-Claude Killy et Michel Barnier. Il s’agit des troisièmes Jeux d’hiver se déroulant en France, après les premiers à Chamonix en 1924, et ceux de Grenoble en 1968.

Ces Jeux d’hiver réunissent 1 801 athlètes issus de 64 nations, qui participent à six sports et 57 épreuves. Désormais, les épreuves de ski acrobatique, de patinage de vitesse sur piste courte ainsi que le biathlon féminin sont disciplines officielles. Par ailleurs, trois disciplines — le ski de vitesse, le curling et les épreuves de sauts et de ballet en ski acrobatique — sont au programme en tant que démonstrations. Albertville est le siège de l’organisation de ces Jeux, mais la ville n’accueille en réalité que 18 de ces épreuves. Les autres sites sont répartis sur la vallée de la Tarentaise et du Beaufortain, notamment le ski alpin à Val d’Isère et aux Ménuires pour les hommes et à Méribel pour les dames, tandis que les épreuves de ski de fond et de biathlon ont lieu au col des Saisies. Il s’agit en effet d’une organisation multipolaire entre la ville hôte et le département puisque les Jeux sont codirigés par le président du Conseil général de la Savoie, cogestion que l’on retrouve dans l’appellation officielle de l’événement, « Jeux d’Albertville et de la Savoie ».

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La dentelle.

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La dentelle est un tissu sans trame ni chaîne, généralement en fil de soie, lin, nylon ou fibres plus riches selon les cas, exécuté par les dentelliers à la main ou à la machine, à l’aide de points semblables ou non formant un dessin, à bords dentelés ou non.

Il n’existe aucune information précise des dates et lieux originels de la dentelle. Il est toutefois admis qu’elle aurait vu le jour au XVIe siècle, dans la région de Venise, notamment à Burano. D’abord nommée passementerie (1539). Apparaît pour la première fois sous le mot « dentelle » (c’est-à-dire « petites dents ») en 1545, dans l’inventaire de la dot de la sœur de François Ier.

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Les harkis.

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Les harkis, désigne, au sens strict, un individu servant en Algérie française dans une formation paramilitaire.

Harki désigne par extension une partie des supplétifs engagés dans l’armée française durant la guerre d’Algérie sans avoir le statut de militaires. Les « harkas », formations très mobiles, sont d’abord employées localement pour défendre les villages, puis constituées en commandos offensifs sous la responsabilité d’officiers français. Les harkis comme les autres supplétifs obtiennent le statut d’anciens combattants en France par une loi du 9 décembre 1974 s’ils habitent en France et à partir du 23 juillet 2010 s’ils habitent en Algérie.

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