Jules Verne, écrivain.

Jules Verne, né le 8 février 1828 à Nantes et mort le 24 mars 1905 à Amiens, est un écrivain français dont l’œuvre est, pour la plus grande partie, constituée de romans d’aventures évoquant les progrès scientifiques du XIXe siècle.

Bien qu’il ait d’abord écrit des pièces de théâtre, Verne ne rencontre le succès qu’en 1863 lorsque paraît, chez l’éditeur Pierre-Jules Hetzel (1814-1886), son premier roman, Cinq Semaines en ballon. Celui-ci connaît un très grand succès, y compris à l’étranger. À partir des Aventures du capitaine Hatteras, ses romans entreront dans le cadre des Voyages extraordinaires, qui comptent 62 romans et 18 nouvelles, parfois publiés en feuilleton dans le Magasin d’éducation et de récréation, revue destinée à la jeunesse, ou dans des périodiques destinés aux adultes comme Le Temps ou le Journal des débats.

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La tour Jacquemart de Moulins (Allier).

La tour Jacquemart est une tour horloge d’une trentaine de mètres de haut située dans le centre de Moulins (Allier, France), appelée ainsi à cause du jacquemart qu’elle porte. Construite au milieu du XVe siècle, elle a été modifiée et restaurée à la suite de différents incendies. Elle est classée Monuments historiques depuis 1929.

Un jacquemart (aussi orthographié jaquemart) est un automate d’art représentant un personnage sculpté en bois ou en métal, qui indique les heures en frappant une cloche avec un marteau. Il apparait au XIVe siècle.

Son étymologie est incertaine, il en existe plusieurs dont certaines fantaisistes1. Il peut s’agir soit de :

personnification de guetteurs, appelés Jacks en Angleterre, qui frappaient l’heure à la main sur une cloche.

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L’électrification de la ligne SNCF Valenciennes-Thionville.

La réforme de la S.N.C.F. est en panne au Parlement. Sa réalisation permettrait sans doute d’améliorer à plus ou moins longue échéance la gestion de la Société nationale. Mais l’un des plus sûrs moyens de réduire son déficit reste le perfectionnement technique.

Le remplacement de la machine à vapeur par des modes de traction moins coûteux (électrification des grands itinéraires, dieselisation des autres et chauffage au fuel des locomotives) permet de réaliser des économies considérables. Sans l’effort de modernisation accompli depuis vingt ans le déficit eût été en 1951 de 30 à 40 milliards plus élevé.

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